Fidèle à son attachement pour l’océan depuis ses premiers chronomètres de marine il y a près de deux siècles, l’horloger loclois se tourne vers la terre pour lui emprunter un minéral aux teintes bleutées et verdoyantes afin d’en habiller le visage d’une montre.

A la fin de chaque été, lorsque les rayons du soleil se font moins intenses, que les températures descendent doucement et que le ciel se couvre de nuages grisonnants, la nostalgie des vacances refait surface. On troque son maillot de bain pour un pull moelleux, on remplace ses sandales de plage par des chaussures fermées, et pourtant, pour Ulysse Nardin, l’océan n’est jamais loin. L’horloger loclois qui a bâti sa réputation en développant des chronomètres de marine dès sa fondation continue de solidifier son lien puissant avec les activités nautiques et subaquatiques, comme le prouve la nouvelle montre Diver [Atoll] à arborer au poignet 365 jours par an.

Fascinant, le cadran de cette édition limitée à 100 pièces est recouvert d’un disque de chrysocolle, un minéral découvert au cours de l’Antiquité, richement pigmenté en teintes  intenses. Zébré de marbrures ocre semblables à des bancs de sable, ce nuancier turquoise, marine, émeraude évoque les eaux bordant un récif corallien. Onze brillants illuminent ce visage océanique, balayés par un trio d’aiguilles centrales, argentées et luminescentes, tandis qu’un hublot à 6h dévoile la date en noir sur fond blanc.

Les heures, minutes et secondes sont animées par le calibre UN-816, un mouvement automatique 4hz qui délivre une réserve d’énergie de 42 heures une fois pleinement remonté. Il loge au sein d’un boîtier étanche à 300m de profondeur, mesurant 39mm de diamètre et usiné en acier dont 80% du métal est issu du recyclage. Une lunette tournante unidirectionnelle gansée de diamants et de chiffres arabes gravés en bleu pour signaler les quarts coiffe cet ensemble. Selon les aventures auxquelles se destine la Diver [Atoll], Ulysse Nardin propose de la porter avec un bracelet en caoutchouc blanc texturé ou en cuir d’alligator subtilement nacré.

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Connu pour ses propriétés techniques inégalées, le matériau aux accents bleutés qu’est le silicium passe de la mécanique à l’esthétique pour habiller, sous la forme d’une mosaïque géométrique, le visage d’un garde-temps d’exception.

La mise en scène résulte d’une fusion entre art poétique et maîtrise mécanique: l’exceptionnelle Blast Free Wheel Marquetry provoque une sensation de liberté et stimule l’imagination. En effet, au premier regard, cette œuvre horlogère signée Ulysse Nardin et présentée à la fin de l’été, au cours des Geneva Watch Days nous projette vers l’infini azuréen d’une mer cristalline bercée par la caresse du soleil. Elle diffuse une intense lumière bleutée tout en nuances grâce à la présence d’un matériau connu pour ses propriétés techniques inégalées, généralement caché au cœur du mouvement, qui se transforme pour l’occasion en une expression artistique: le silicium.

Travaillé en tesselles géométriques, de formes, épaisseurs et finitions différentes, afin de composer une mosaïque inédite, le silicium tapisse le cadran de la montre et s’installe sur le barillet placé à 12h. Sous le verre saphir dit “ultra-glassbox“ car offrant une vue imprenable, de face comme sur les côtés, sur les différents éléments, un tourbillon volant tournoie à 6h. Il s’accompagne d’un indicateur à 4h qui affiche de manière originale la réserve de marche délivrée par le calibre UN-176 à remontage manuel et s’élevant à une semaine. Au centre, deux aiguilles grises et luminescentes indiquent les heures et minutes. L’imposant boîtier en or blanc de la Blast Free Wheel Marquetry mesure 45mm de diamètre et est rattaché à un bracelet en caoutchouc bleu au toucher soyeux comme du velours que ferme une boucle déployante usinée dans le même métal précieux.

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À l’occasion de Watches & Wonders Geneva 2023, l’horloger loclois a dévoilé une version inédite et toujours fascinante de sa montre au design et à la conception sans équivalent.

Après plus de deux décennies, le phénomène de la Foire de Bâle 2001 demeure à plus d’un titre unique. Avec la Freak, Ulysse Nardin a lancé la révolution du silicium. Mais surtout avec ce modèle finalisé par le génial horloger Ludwig Oechslin, la manufacture a démontré qu’une montre pouvait donner l’heure sans recourir à la sacro-sainte trinité horlogère: couronne, aiguilles et cadran. Pour son évolution, la Freak One, 95% des composants bougent. Le barillet paré d’une flèche indique toujours les heures, le train de rouages du carrousel volant les minutes. Ces éléments intègrent le calibre UN-240 assemblé à l’aide de 229 pièces. Ce mécanisme se distingue encore par son échappement en silicium traité DIAMonSIL, un revêtement en diamant de synthèse, et par son oscillateur surdimensionné.

Ce mouvement automatique assure le show avec ses 72 heures de réserve de marche. Son système de remontage Grinder^® relié au rotor et logé sous le boîtier en titane DLC noir de 44 mm de diamètre donne la possibilité de faire efficacement le plein d’énergie. Outre son apport esthétique, la lunette stylisée en or rose 5N est fonctionnelle. Une pression sur le bouton à 6h orné de la mention Freak la désolidarise. Se giration permet alors de régler l’heure du garde-temps. Une seconde action sur le poussoir fige la position. Cette pièce d’exception s’accompagne d’un bracelet texturé, confectionné par la société BIWI et réalisé à partir de 30% de caoutchouc recyclé. Plus qu’une montre, la Freak One est aussi un état d’esprit.

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En préambule de Watches & Wonders Geneva 2023, la maison locloise dévoile sa première montre, une déclinaison précieuse de son modèle doté d’un design contemporain.

Depuis 2020, chaque pièce de la collection Blast signée Ulysse Nardin prend la forme d’un labyrinthe visuel dans lequel le regard aime se perdre. Les lignes ciselées de son boîtier de 45mm de diamètre servent à une mise en scène squelettée qui concentre toute l’attention. Pour la Blast Tourbillon Blue & Gold, un attrayant jeu de matière et de couleur confère à cette pièce de haute horlogerie moderne une allure raffinée. Ici, l’écrin combine un élégant titane traité PVD bleu à la finition sablé, à de l’or rose satiné et poli. Dessus, les aiguilles des heures et des minutes recouvertes de Super-Luminova^® pointent de discrets index habillés de la même matière luminescente et survolent l’architecture ouverte inhérente à la gamme.

On y retrouve ainsi une structure géométrique composée de ponts en rectangle et en forme de X. La lettre est reprise en écho pour la cage du tourbillon volant à 6h. L’organe réglant forme en outre avec le microrotor en platine à 12h un axe de symétrie. Cette composition aérée permet de découvrir quelques-uns des 137 éléments et rouages qui donnent vie au calibre UN-172. Ce performant mouvement à remontage automatique doté d’un échappement (roue, ancre et spiral) en silicium délivre 72 heures de réserve de marche, soit 3 jours. Pour un accord parfait avec un vestiaire classique ou teinté d’originalité, la Blast Tourbillon Blue & Gold s’accompagne d’un bracelet bleu foncé en caoutchouc avec effet velours, fermé par une boucle déployante. Définitivement chic et contemporaine!

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Couleur intemporelle, le blanc séduit par l’élégance et la légèreté qu’il insuffle aux objets. La dernière variation de la plongeuse squelettée de la manufacture profite de ses bienfaits.

Après une version Black en titane et Carbonium^® produit à seulement 175 exemplaires, Ulysse Nardin décline son audacieuse montre de plongée squelettée avec de nouveaux atours immaculés. Cette Diver X Skeleton White reprend ainsi le design avant-gardiste propre aux modèles de la collection. Au cœur de la mise en scène aérée, on retrouve alors l’emblématique architecture en forme de X dans des tonalités grises. Le liseré qui vient l’orner et la trotteuse rehaussent d’un bleu vif la composition contemporaine. L’ensemble est cerclé par une lunette tournante unidirectionnelle concave munie d’un caoutchouc blanc. Cette même matière sert au bracelet terminé par une boucle déployante qui accompagne le boîtier en titane de 44mm de diamètre, valorisé par une finition polie et satinée, étanche jusqu’à 200 mètres de profondeur. Cette édition à l’allure résolument sport chic peut également se porter sur une alternative confectionnée en tissu et fermée par un scratch.

Les aiguilles des heures et des minutes habillées de peinture luminescente Super-Luminova^® sont propulsées par le calibre UN-372 assemblé à l’aide de 171 composants. Le fond saphir de la boîte permet d’admirer une partie de sa structure. Ce mouvement à remontage automatique doté d’un oscillateur extra-large, d’une roue d’échappement, d’une ancre et d’un spiral en silicium délivre une confortable réserve de marche de 72 heures, soit 3 jours. Une fois de plus, style élégant et haute performance sont au rendez-vous avec la Diver X Skeleton White!

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La collection inspirée des anciens chronomètres de marine s’étoffe en cette fin d’année de trois références dotées chacune d’une complication ou d’un mécanisme remarquable.

Les voyageurs en quête d’excellence vont être comblés. La Marine Torpilleur Dual Time signée Ulysse Nardin propose une séduisante alternative à l’affichage d’un second fuseau horaire. Ici, aucune aiguille complémentaire ne vient surcharger la mise en scène. Celle-ci est remplacée par un guichet logé à 9h. La lecture est ainsi immédiate. Le mouvement à remontage automatique UN-334 (48 heures de réserve de marche) orchestre également une grande date positionnée à 2h. Le calibre intègre un boîtier en acier de 44mm. Deux discrets poussoirs placés dans la carrure facilitent le réglage.

Reprenant les mêmes atours esthétiques, notamment un tour d’heures composé de chiffres romains allongés, la Marine Torpilleur Phase de Lune joue la carte de l’élégance avec sa boîte en or rose de 42mm de diamètre. Cette matière précieuse est aussi utilisée pour le binôme d’aiguilles des heures et des minutes ainsi que pour la masse oscillante. Sur un magnifique cadran blanc verni, les lunaisons évoluent au sein de la petite seconde à 6h. L’indicateur de réserve de marche à 12h renseigne sur l’énergie encore disponible sur les 60 heures possibles. L’ensemble est animé par le calibre automatique UN-119 doté d’une chronométrie certifiée par le COSC. Quant à la Marine Torpilleur Tourbillon Grand Feu, sur son cadran en émail Grand Feu, le tourbillon volant du calibre UN-128 automatique opère ses girations avec précision. Si la précédente version dévoilée à l’occasion des 175 ans de la manufacture était élaborée autour d’un écrin en or rose, pour cette variation, Ulysse Nardin opte pour un boîtier en acier toujours de 42mm de diamètre.

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Avec cette édition limitée réalisée à l’aide de matériaux recyclés, la manufacture entame une collaboration inédite et présente son nouvel ambassadeur, Børge Ousland.

“Même si j’adore l’été, je ne peux m’empêcher de me réjouir à l’approche de l’hiver. Les changements de saison sont des moments si précieux où la nature bouleverse ses habitudes, ses couleurs…“ Ce message laissé sur les réseaux sociaux par Børge Ousland souligne l’attrait de l’aventurier norvégien pour la plus rude des périodes annuelles. Son attirance pour les régions arctiques, ses expéditions dès 1990, et son exploit réalisé avec Mike Horne en 2006 – ils sont les premières personnes à atteindre en 2006 le pôle Nord en hiver – fait de lui un explorateur émérite salué par tous. Son engagement a séduit Norrøna qui lui fournit des vêtements confectionnés à l’aide de matières premium durables, taillés pour ces conditions extrêmes. Aujourd’hui, il devient ambassadeur d’Ulysse Nardin. Car comme l’équipementier, la manufacture partage la même ambition: développer un modèle plus circulaire. C’est donc en toute logique que les deux entreprises ont débuté une collaboration qui prend vie au travers de la Diver Norrøna Arctic Night.

Cette montre de plongée, étanche jusqu’à 300 mètres de profondeur, est élaboré autour d’un boîtier de 44 mm de diamètre composé d’acier recyclé, de Carbonium® éco-sourcé et de Nylo® réalisé à partir de filets de pêche valorisés. Son bracelet est aussi confectionné à l’aide de la matière issue de cette filière. Éditée à seulement 29 exemplaires, cette série animée par le calibre UN-118 automatique avec échappement en silicium (60 heures d’autonomie) est livrée pour l’occasion avec une veste arktis Norrøna en Gore-Tex® pro exclusive. Les terres polaires n’attendent que vous!

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L’entreprise horlogère locloise clôture la saison estivale en beauté en levant le voile sur une nouvelle édition limitée, toute en architecture mystérieuse, en jeux de transparence et en explosion de couleurs.

Aussi envoûtante qu’un coucher de soleil en haute mer, lorsque le ciel est nimbé de teintes roses et mauves et que l’énorme boule orange que devient l’astre du jour semble fondre dans la masse sombre de l’océan, la Blast Rainbow fait exploser ses couleurs au poignet. Limitée à seulement 50 exemplaires, cette nouvelle montre signée Ulysse Nardin présente toutefois une personnalité multiple faite de mystère tout en transparence, d’obscurité toute en nuances, immobile toute en mouvement.

Avec cette édition, l’horloger loclois réinterprète le régulateur développé par le mécanicien du temps Abraham-Louis Breguet au début du 19^ème siècle et le fait virevolter en toute liberté à 6h sur le cadran. L’emplacement de ce tourbillon volant fait écho au micro-rotor en platine placé à 12h qui permet le remontage automatique du calibre UN-172. Totalement ajouré, ce mouvement de manufacture 2.5hz qui délivre 72 heures de réserve de marche loge au sein d’un boîtier noir intégral de 45mm de diamètre usiné en titane DLC et céramique. Cintrant le célèbre X, signature visuelle d’Ulysse Nardin, qui semble sortir de son cadre rectangulaire sur le visage de la montre, les index des heures et la lunette en acier DLC sont sertis de 50 pierres de taille baguette: rubis et saphirs oranges, jaunes, verts, bleus, violets et roses forment un dégradé en arc-en-ciel. Au centre de cet univers aussi architecturé que contrasté, deux aiguilles de type bâton, noircies et surlignées de matière luminescente blanche, affichent les heures et minutes.

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Le lancement de cette série limitée donne l’occasion à la manufacture de se consacrer toujours plus dans la protection des requins en participant à des actions caritatives engagées.

Depuis 2010 avec la Diver Hammerhead Shark, Ulysse Nardin souhaite tisser un lien fort avec l’univers des squales. Dix ans plus tard, la marque s’investit auprès d’OCEARCH qui épaule, entre autres, les scientifiques dans la collecte d’informations sur le déplacement des grands poissons gris. Cette année, cet engagement s’accroît et prend une autre forme. La manufacture va ainsi reverser 1% des ventes annuelles de ses “montres requins“ au mouvement 1% for the Planet. Elle s’implique aussi en faveur de Shark Trust, une organisation européenne spécialisée qui travaille pour réformer les pêcheries non durables et non réglementées. À cette occasion, Ulysse Nardin dévoile la Diver Chronograph 44mm Great White.

Cette montre de plongée combine un boîtier en titane de 44mm de diamètre étanche jusqu’à 300 mètres de profondeur à une lunette tournante unidirectionnelle blanche revêtue de caoutchouc. Sur son cadran, on retrouve les compteurs du chronographe, une petite seconde et l’affichage d’une date à 6h. Pour assurer une excellente lisibilité dans toutes les conditions en mer comme sur terre, les aiguilles des heures et des minutes, et les index sont habillés de Surper-LumiNova®. Toutes les données temporelles sont propulsées par le calibre UN-150 (48 heures de réserve de marche). Ce mouvement à remontage automatique dispose d’une roue d’échappement, d’une ancre et d’un spiral en silicium. Les 300 exemplaires de la Diver Chronograph 44mm Great White s’accompagnent d’un bracelet en caoutchouc blanc orné d’un motif requin chargé de matière luminescente.

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Toujours épris de liberté, l’horloger avant-gardiste dévoile une nouvelle pièce en édition très exclusive, au visage architectural rehaussé de jaune vif, et réalisée en titane et Carbonium®, un matériau technique aussi léger que résistant.

Avec sa personnalité éprise de liberté, de grands espaces généralement océaniques, et reposant sur un design avant-gardiste, Ulysse Nardin continue de surprendre à chaque fois qu’elle dévoile une nouvelle création. C’est le cas une fois de plus avec la Diver x Skeleton Black, une montre uniquement disponible en 175 exemplaires. En nous appuyant sur le succès rencontré par la version teintée de bleu présentée en 2021, on peut prédire à cette pièce sombre sur laquelle essaiment des touches de jaune vif une fulgurante rupture de stock.

Au premier regard, l’œil est immédiatement attiré par le grand X qui règne, ourlé de couleur vive, au centre du cadran tout en relief. Balayés par les deux large aiguilles noircies des heures et minutes et la trotteuse, les index rectangulaires semblent flotter sur la structure ouverte sur une partie du mouvement, le calibre UN-372 squelette à remontage automatique cadencé sur 3hz et fournissant trois jours de réserve de marche (72 heures). Tous les affichages sont enduits de Super-LumiNova® blanc qui permet une lecture aisée même dans l’obscurité.

Ce moteur manufacturé par Ulysse Nardin loge au sein d’un boîtier massif de 44mm de diamètre en titane revêtu de DLC noir. A ce métal léger vient se greffer le Carbonium® de la lunette graduée, un matériau résistant issu de l’aéronautique et composé de fibres de carbone compressées. La Diver x Skeleton Black est fournie avec deux bracelets, l’un en caoutchouc jaune avec boucle déployante pour une identité aussi sportive que mordante, l’autre fabriqué en filets de pêche recyclés muni d’une fermeture type Velcro® (R-Strap) pour un (presque) total look noir.

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Avec cette série réalisée à 200 exemplaires, l’horloger du Locle démontre sa capacité à assembler un garde-temps à partir de matériaux issus de filières soucieuses de l’environnement.

En 2020, Ulysse Nardin présente avec la Diver Net, une concept watch qui va servir de boussole à une future production raisonnée. Nombre de ses composants sont confectionnés à  partir de filets de pêche recyclés. De la pièce unique à l’édition limitée, il n’y a qu’un pas franchi cette année avec le modèle Diver X Ocean Race. Dévoilée à l’occasion de l’annonce du partenariat de la manufacture avec la prochaine course 2022-2023 autour du monde en équipage par étapes réservée aux monocoques, cette montre de plongée compile de nombreuses solutions innovantes en matière de développement durable.

Ainsi, son boîtier de 44mm de diamètre étanche jusqu’à 300 mètres de profondeur est usiné dans un acier recyclé à au moins 80% issu de l’industrie automobile. Les brancards latéraux et le cerclage du fond combinent 60% de filets de pêche recyclés à 40% de Carbonium, fournis respectivement par les entreprises FIL&FAB et Lavoisier Composite. Le Carbonium qui présente un impact environnemental 40% inférieur à celui d’autres composites de carbone est aussi utilisé à 100% pour le décor de la lunette tournante unidirectionnelle. Son bracelet terminé par une fermeture à scratch est de même obtenu à l’aide de filets de pêche recyclés par l’entreprise française JTTI. Son mouvement à remontage automatique (60 heures d’autonomie) anime les aiguilles des heures et des minutes, la petite seconde et la date logées à 6h ainsi qu’un indicateur de réserve de marche positionné à 12h. Afin de limiter l’empreinte carbone, 95% des composants du calibre UN-118 sont sourcés dans un rayon de 30 km autour de la manufacture.

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La manufacture a présenté, durant le salon Watches & Wonders Genena 2022, une série limitée inédite et raffinée de son garde-temps exclusif à la mécanique envoûtante.

Celles et ceux qui la connaissent ne sont pas dépaysés, mais une nouvelle fois fascinés… La montre Freak X Aventurine conserve son incroyable dispositif apparent qui remplace le traditionnel binôme d’aiguilles des heures et des minutes. Pour les néophytes, découvrir ce garde-temps reste une expérience visuelle sans commune comparaison. Celle-ci est d’autant plus forte qu’Ulysse Nardin cette année combine son carrousel volant tournant sur lui-même en 60 minutes à un somptueux cadran en aventurine bleue. La structure mécanique prend ainsi les traits d’un vaisseau spatial évoluant au sein d’un ciel constellé ou d’un navire voguant sur les flots. Cette mise en scène originale de l’affichage du temps s’épanouit au cœur d’un boîtier en titane PVD bleu et or rose de 43mm de diamètre. Le choix de cette combinaison de matériaux renforce la personnalité moderne de la montre.

Côté calibre, on retrouve l’UN-320 assemblé à l’aide de 405 pièces, lequel vibre à 21’600 alternances par heure. Ce mouvement à remontage automatique introduit en 2019 se distingue par sa roue d’échappement, son ancre, son spiral et son balancier de grande dimension, tous usinés en silicium. La performance est par ailleurs au rendez-vous avec une confortable réserve de marche de 72 heures.Ulysse Nardin a le bon goût de proposer une production exclusive de ces garde-temps. La Freak X Aventurine accompagnée de son élégant bracelet en cuir d’alligator bleu ne déroge pas à la règle. Il s’agit d’une édition limitée à seulement 99 exemplaires.

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Espace, frontières de l’infini, explorer de nouveaux mondes, avancer vers l’inconnu… Plus qu’une fiction, une réalité proposée par les horlogers de la manufacture avec cet opus captivant.

Une nouvelle fois, Ulysse Nardin tient ses promesses avec la montre Freak S présentée lors de la dernière édition de Watches and Wonders Geneva. Oubliez les conventions ! Toujours sans aiguilles, sans cadran et sans couronne, ce modèle offre une expérience visuelle sidérante. Architecturée tel un vaisseau spatial tout droit sorti d’un blockbuster hollywoodien, la partie visible du calibre UN-251 met en scène deux oscillateurs inclinés à 20° en silicium doté d’une fréquence de 2.5 Hz combinés à un différentiel vertical. La présence de celui-ci permet de faire la moyenne de deux marches et distribuer avec équité l’énergie du barillet en direction du duo de balanciers extralarges. Cette sculpture cinétique indique les heures à l’aide d’une excroissance stylisée remplie de Super-Luminova® rehaussée d’aventurine et les minutes grâce à l’avant en pointe de l’astronef.

Le complexe mécanisme prend place dans un boîtier de 45mm de diamètre qui combine matières high-tech et précieuses : céramique noire, titane DLC noir et or rose 5N. Celui-ci peut se remonter de deux façons. Le système “Grinder“ profite des mouvements du poignet pour pouvoir alimenter le calibre en énergie. Il est également possible de l’approvisionner manuellement via le fond de l’écrin. Quant à sa mise à l’heure, celle-ci s’opère en effectuant une rotation de la lunette. Éditée à seulement 75 exemplaires, la Freak S se porte sur un bracelet en cuir d’alligator noir et en cuir de veau doré, lequel renforce la personnalité exclusive du garde-temps.

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Le soleil a rendez-vous avec la lune… et pour une fois les deux astres se retrouvent sur le visage de la dernière création astronomique douée pour le voyage dévoilée par la manufacture!

Le système héliocentrique de Nicolas Copernic (1473-1543) ne semble pas transposable en horlogerie. La nouvelle Blast Moonstruck réalisée par Ulysse Nardin adopte en effet un point de vue terrien pour suivre les orbites de notre soleil et de la lune. Sur son cadran, une représentation de l’hémisphère nord en forme de dôme domine la mise en scène. Sa base est cerclée d’une échelle graduée de 1 à 31. Sur son extérieur, un discret triangle luminescent vient pointer le jour.

Autour de ces éléments, notre étoile en bronzite et notre satellite dévoilant ses phases évoluent dans leur courbe elliptique respective à la vitesse réelle observée depuis notre planète. Les informations qui jalonnent leurs trajectoires permettent de connaître les lunaisons et les coefficients des marées.

Si la gravitation semble gérer les courses des corps célestes dans l’univers, au sein de ce garde-temps, c’est le calibre UN-106 (50 heures de réserve de marche) qui est en charge d’orchestrer toutes les données. Ce complexe mouvement à remontage automatique assemblé à l’aide de 335 composants prend place dans un boîtier de 45mm de diamètre forgé en céramique et titane DLC noir. Outre les heures et les minutes, il indique les heures du monde et un second fuseau horaire. Deux poussoirs idéalement intégrés à la carrure de l’écrin facilitent le réglage. Avec l’ensemble de ces fonctionnalités, grands voyageurs, arpenteurs d’espaces rêvés et amateurs d’une horlogerie fascinante tomberont sous le charme de cette montre astronomique.

Prix: 75’000 CHF www.ulysse-nardin.com

Par Dan Diaconu

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