Parce que le temps présente une dimension philosophique selon la sensibilité de chacune et chacun, la maison parisienne fait de lui un reflet de soi, une nouvelle pensée à approfondir au rythme des heures.

Amener de nouveaux arguments pour pousser à la cogitation, construire la pensée, à philosopher sur le temps qui s’écoule inexorablement, est une douce marotte pour Cartier. Toutefois, avec la montre Reflection, la maison parisienne cumule une autre de ses spécialités: le travail des formes. Cette association permet ainsi non seulement de développer l’esprit mais aussi d’éveiller les sens, tel un jeu qui lierait l’imagination et le toucher, le cerveau et la pulpe du doigt.

Lors de Watches and Wonders, à Genève, il y a quelques mois le joailler-horloger français a présenté cinq fines manchettes qui affichent l’heure, deux versions en or de couleur, jaune ou rose, et trois en or blanc tapissés de diamants, seuls ou accompagnés de pierres aux teintes élégantes (émeraude, chrysoprase, tourmaline turquoise, obsidienne, opale, grenats spessartites, améthyste et oeil-de-tigre).

Chacun de ces joncs épais réinterprète librement le vocabulaire rigide de la géométrique en offrant un corps à la fois plein et ajouré, anguleux et arrondi, lisse et rugueux. L’une des extrémité dévoile un cadran clair avec des chiffres romains noirs ou recouvert de brillants que parcourt un duo de petites aiguilles de style glaive, tandis que l’autre est recouverte d’une surface fortement polie. Le temps se reflète ainsi dans ce miroir, bousculant les repères et proposant de suivre son cours normal ou, si on a l’âme poétique, de le remonter. La montre Reflection mesure 18.4 x 17.5mm pour une hauteur de 8.9mm et renferme un mouvement à quartz qui alimente la ronde des heures et minutes.

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Inspiré de la première montre-bracelet conçue par la marque parisienne à la demande du célèbre aviateur, ce trio de garde-temps à remontage manuel se pare harmonieusement de couleurs qui soulignent cadran, lunette et attaches.

Afin de contourner l’expression populaire “Jamais deux sans trois“ avec subtilité, la maison parisienne propose directement trois nouvelles références de Santos-Dumont, cette collection inspirée de la première montre-bracelet que Louis Cartier (1875-1942) imagina à la demande du célèbre pionnier de l’aviation brésilien Alberto Santos-Dumont (1873-1932). Ces modèles, récemment présentés lors du salon Watches and Wonders à Genève, au printemps dernier, mettent en valeur la beauté profonde des couleurs, surtout lorsque celles-ci s’échappent du cadran pour déborder sur une partie du boîtier. Platine, or rose ou jaune: voici les trois métaux choisis pour forger l’écrin géométrique aux dimensions généreuses (31.5×43.5mm pour 7.3mm d’épaisseur) qu’encadre une lunette laquée de vert olive, bleu paon et gris souris. Ces teintes, assorties au visage satiné de la montre, sont reprises pour ganser les attaches et habiller les bracelets en cuir d’alligator que ferment des boucles à ardillon.

Au centre, deux fines aiguilles de type glaive se chargent de n’afficher que l’essentiel du temps, soit les heures et les minutes, en survolant les appliques en acier doré ou argenté des chiffres arabes galbés et en pointant la minuterie en chemin de fer blanc qui court discrètement le long du réhaut. La ronde rythmée de ces indications prend vie grâce au calibre 430MC, un mouvement mécanique à remontage manuel qui vibre à la fréquence douce de 3hz et délivre une réserve d’énergie avoisinant les 40 heures.

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Révélation du salon genevois Watches and Wonders, la création de la maison parisienne offre une vision différente de la marche du temps puisque sur son cadran, celui-ci défile dans le sens inverse de l’affichage conventionnel.

Rembobiner le fil du temps comme on le ferait avec une pelote de laine, prendre l’échelle chronologique, et les conventions par la même occasion, à contrepied, rajeunir de quelques années, quelques décennies, est un doux rêve que caressent les cœurs nostalgiques. Si Cartier ne détient certes pas le chemin secret qui mène à la chimérique fontaine de jouvence, la maison parisienne propose toutefois, au travers de la Santos-Dumont Rewind, une réflexion différente sur l’égrenage traditionnel des heures et minutes. Ainsi, cette pièce présentée lors du salon genevois Watches and Wonders au printemps dernier et limitée à 200 exemplaires, invite à revoir ses repères et à vivre le temps avec une autre philosophie grâce à son affichage inversé. En effet, sur le cadran en cornaline, cette calcédoine rougeoyante qui symbolise la vie sur Terre et apaise les esprits tourmentés, les appliques rhodiées des chiffres romains, encadrées par une minuterie en chemin de fer, sont placés selon un ordre antihoraire. La permutation inédite affecte également la ronde le binôme d’aiguilles argentées de type Breguet à pomme évidée, installé au centre, bousculant la prise d’information.

Fait en platine, le boîtier géométrique de la Santos-Dumont Rewind, qui mesure 31.5×43.5mm pour une finesse de 7.3mm, est cintré d’une lunette retenue par 8 vis et ponctuée d’une couronne accueillant un rubis en cabochon. Il renferme le calibre 230 MC, un mouvement à remontage manuel inversé qui délivre une réserve d’énergie de 38 heures. Cette nouvelle Cartier se porte au poignet à l’aide d’un bracelet en cuir d’alligator couleur acajou fermé par une boucle à ardillon.

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A la fois technique et aérienne à l’instar de la machine volante qui emporta dans les airs le célèbre pionnier de l’aviation, la nouvelle montre de la maison parisienne est proposée en trois versions spectaculaires.

Libre comme l’oiseau aux ailes déployées qui se laisse porter la brise zéphyrienne, le pionnier de l’aviation Alberto Santos-Dumont (1873-1932) découvre le monde vu du ciel à bord de sa machine volante, le Demoiselle, ce monoplace qu’il a conçu en 1907. A Louis Cartier (1875-1942), il commande une montre-bracelet afin de pouvoir lire l’heure tout en pilotant. De cette demande est née une collection contemporaine, baptisée d’après le nom de l’ingénieur brésilien d’origine française, qui accueille trois nouvelles références: Santos-Dumont Squelette, proposée en or jaune, rose ou acier.

Tel un chaleureux soleil stylisé qui fait irradier ses rayons graphiques ourlés de laque marine, le visage de la montre laisse la lumière le traverser et caresser la reproduction miniature du Demoiselle survolant un demi-globe argenté, interprétation poétique et inédite du micro-rotor. Au centre, deux aiguilles en acier bleui de type glaive affichent les heures et minutes sous la cadence du calibre 9629 MC, un mouvement mécanique à remontage automatique qui a nécessité deux ans de développement. Rythmé sur la fréquence douce de 25’200 alternances par heure, il délivre près de deux jours de réserve d’énergie. Le boîtier carré aux angles adoucis de la Santos-Dumont Squelette, version grand modèle, impose de généreuses dimensions (43x31mm), et s’accompagne d’une lunette vissée et d’une couronne perlée que ponctue un cabochon bleu. Gansé de laque bleue comme l’océan, il s’ancre fermement au poignet grâce à un bracelet en cuir d’alligator outremer et une boucle à ardillon en or jaune.

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Avec cette montre qui se porte comme un bijou, ce bracelet précieux qui donne l’heure, la maison parisienne joue avec les formes, les couleurs, les matières, les finitions, pour offrir au temps un écrin aussi inédit que fascinant.

Le temps détient, malgré lui, malgré nous et notre quotidien effréné, une dimension ludique. La relation que nous avons avec lui est souple, élastique, modulable, telle une pâte à modeler abstraite. Il s’amuse avec nous, de nous, rallonge les secondes, raccourcit les heures, fait défiler les années. De cet esprit joueur est née la Clash [Un]limited, une montre-bijou signée Cartier. Pour la maison parisienne, le temps se dévoile sous un empilement harmonieux de formes, tel un jeu de construction pour enfant où pyramides et billes se tiennent côte à côte, de couleurs, de matières et de finitions. Les sens sont éveillés, émerveillés par cet objet presque insolite, ce bracelet précieux qui donne l’heure, cette montre qui se cache sous une structure aussi complexe que vivante.

Présentée lors de Watches and Wonders 2023 à Genève, la série Clash [Un]limited repose sur cinq références, réparties en trois catégories, de la plus “simple“ si l’on ose dire à la plus joaillère, toutes équipées d’un boîtier mesurant 18.4×32.7mm et 8mm d’épaisseur et rythmées par un mouvement à quartz. Dans le premier groupe, le cadran est vêtu d’une robe argenté soleillé tandis que le bracelet à la silhouette atypique marie l’or rose ou jaune à l’or violet, cet alliage exclusif teinté de mauve. Puis dans le second, c’est l’or gris qui voit ses maillons anguleux et deux perles sur trois tapissés de brillants. Enfin, le dernier rassemble deux pièces exceptionnelles, l’une misant sur les contrastes entre le noir et le blanc avec la présence de diamants, spinelles et obsidienne, et l’autre incarnant une explosion de couleurs en associant spinelles, tsavorites, corail et chrysoprase.

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Avec son mouvement niché dans une masse oscillante, cette œuvre d’haute horlogerie imaginée par la maison parisienne est sans aucun doute l’une des plus belles pièces présentée cette année.

C’est il y a plus d’un siècle, en 1912 très précisément, que Cartier dévoile ses premières pendules mystérieuses. Aussi énigmatiques que fascinantes avec leurs aiguilles qui semblent flotter dans les airs sans retenue aucune, ces pièces voient au fil du temps leur mouvement se miniaturiser pour être emboîté dans des montres-bracelets. La maison parisienne renoue avec ce spectacle horloger dont elle seule détient le secret en présentant Masse Mystérieuse, une édition limitée à 30 exemplaires et sans doute l’un des plus beaux modèles présentés cette année.

Danse moderne ou ballet contemporain, le temps s’affiche en mouvement, les heures sont aériennes, les minutes virevoltantes, indiquées par un jeu d’aiguilles centrales de type glaive rattachées à un système de différentiel qui cadence leur rythme régulier sans être affectées par le balancement irrégulier de la masse oscillante. C’est au sein de cette dernière, reconnaissable grâce à sa forme de large éventail, que niche le calibre 9801 MC. Ce mouvement squelette de manufacture à remontage automatique, qui vibre à 4hz, fournit 42 heures de réserve de marche et intègre un rotor bidirectionnel, a nécessité 8 ans de développement avant de pouvoir offrir ce tableau mobile inouï. Le boîtier en platine 950 de 43.5mm de diamètre et 12.64mm d’épaisseur – qui existe également dans une version tapissée de diamants de taille baguette – se porte sur un bracelet en cuir d’alligator mat de couleur gris anthracite ou noire.

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Rompre avec les conventions traditionnelles. Tel est le point fort de la déclinaison sportive de cette icône horlogère, aussi à l’aise dans l’action que dans les mondanités!

Une forme de liberté insouciante et d’audace stylistique imprime les années 1980 à l’image de la montre Pasha de Cartier. Depuis, ce modèle n’a cessé de s’ancrer dans son époque. Ainsi, sa déclinaison Seatimer, dévoilée en 2006, possède tous les atouts d’une véritable sportive, l’élégance en plus. Ce garde-temps donne la possibilité de mesurer les temps courts et d’être porté durant les excursions sous-marines notamment grâce à sa lunette tournante graduée qui sécurise l’immersion du plongeur. La Pasha Chronographe 2021 reprend ses attributs tout en proposant une alternative à l’esthétique classique de ce type de complication.

Ainsi, sur son cadran blanc épuré, une minuterie précise cercle des compteurs en position tricompax. De discrètes diagonales et le dessin d’un carré, déjà présent sur le modèle original, participent à une mise en scène graphique sur laquelle trône un 12 taille XL. La couronne et les poussoirs participent aussi fortement à sa personnalité décalée. Tous sont recouverts d’un cabochon bleu. Une signature Cartier!

Deux déclinaisons sont proposées. L’une combine une boîte de 41mm de diamètre en acier à un bracelet usiné dans le même matériau. L’autre associe son écrin en or jaune à un lien en cuir marron. Toutes deux intègrent le mouvement à remontage automatique 1904-CH MC, découvert en 2013 dans la collection Calibre de Cartier. Cette mécanique conçue pour assurer une parfaite stabilité chronométrique délivre deux jours de réserve de marche. La Pasha Chronographe s’adapte une nouvelle fois à l’air du temps en disposant d’un système QuickSwitch qui permet de changer de bracelet en toute facilité.

Prix: 9’150 CHF (acier) – 22’800 CHF (or jaune)

Par Dan Diaconu

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Avec ses proportions contemporaines, la maison parisienne renforce la personnalité raffinée de ce garde-temps imaginé en 1904 par Louis Cartier pour son ami aviateur brésilien.

Intemporalité. Rarement une montre n’a si bien porté ce qualificatif. Car bien que plus que centenaire, la Santos Dumont ne prend aucune ride. Cette année, Cartier revisite tout de même avec pertinence ses lignes et ses dimensions pour la mettre au goût du jour. Ainsi la Santos Dumont XL se distingue ainsi par son boîtier rectangulaire au format 46.6mm x 33.9mm et à la finition satinée et par sa finesse, seulement 7.5mm d’épaisseur. La courbure de son profil gagne en élégance. Ces nouvelles proportions donnent au cadran la possibilité d’améliorer encore sa clarté et sa lisibilité. Bien sûr, on retrouve tous les codes esthétiques de la manufacture, tour d’heures composé de chiffres romains et aiguilles de type glaive bleuies, toutefois la composition plus graphique gagne en amplitude.

Trois versions sont proposées. L’une est en acier, une autre en or rose tandis que la dernière combine les deux matériaux. Quelle que soit la déclinaison, toutes ces références sont animées par le calibre 430 MC à remontage manuel. Une fois remonté, le mouvement assure environ 38 heures de réserve de marche. Sa mise à l’heure et son remontage s’effectuent à l’aide de la traditionnelle couronne perlée sertie d’un cabochon en saphir ou en spinelle de synthèse selon les versions.

La Santos Dumont XL se porte sur un bracelet parfaitement intégré en cuir d’alligator bleu, gris ou noir en fonction de la couleur du métal de la boîte. Tous sont dotés d’un système pratique qui permet de les changer en toute facilité.

Prix: 5’500 EUR (acier) – 7’800 EUR (acier et or rose) – 15’000 EUR (or rose)

Par Dan Diaconu

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Depuis sa création en 1917, la montre dessinée par Louis Cartier n’a cessé de se réinventer. L’une des déclinaisons les plus originales revient en édition limitée chic et raffinée.

Dévoilée en 1936, la Tank Asymétrique bouscule l’univers graphique de l’icône avec ses deux brancards horizontaux reliés par deux obliques et des chiffres désaxés de 30° à droite. Pour le millésime 2020, les chiffres arabes qui remplacent ceux plus traditionnels à la typographie romaine tout comme les index ont été redessine?s. Cartier la décline en trois versions éditées pour chaque esthétique à 100 exemplaires. La première associe un boîtier en or rose avec un cadran gris, la deuxième combine l’or jaune à une élégante teinte champagne tandis que la troisième propose une boîte en platine et un cadran couleur argent. Un bracelet spécifique a par ailleurs été développé pour épouser idéalement le parallélogramme de la boîte (47.15 x 26.2 mm).

Au cœur de ce fin écrin insolite de seulement 6.38mm d’épaisseur bat le calibre 1917 MC. Ce mouvement mécanique manuel offre 38 heures de réserve de marche à la montre une fois remonté à l’aide de la couronne sertie d’un saphir ou d’un rubis cabochon selon la version.

Dans sa grande tradition de mettre la technique au service du design, Cartier a présenté par ailleurs deux autres déclinaisons éditées aussi à 100 exemplaires chacune, l’une en or rose, l’autre en platine, dotées d’un mouvement squelette 9623 MC. Le 12 et le 6 constituent les points cardinaux de cette architecture ouverte. Les aiguilles bleuies pointent des index recouverts du même coloris forgés dans la structure même du calibre. Toutes ces références se portent sur des bracelets en cuir d’alligator, bleu, noir, gris ou marron en fonction de la matière de la boîte.

Prix sur demande

Par Dan Diaconu

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Avec ce nouveau chronographe qui fut l’une des attractions du dernier Salon de la Haute Horlogerie, la manufacture donne un supplément d’âme à un grand classique horloger. Explications.

Repartir sur de nouvelles bases. C’est ce que nous propose Cartier avec ce Santos Chronographe. Si le garde-temps concentre bien l’ADN du modèle original, il se distingue néanmoins des précédentes versions par un choix technique qui influence le design final. Exit ainsi les deux poussoirs que l’on trouvait par exemple sur la Santos 100. Place à une ligne épurée grâce à la présence d’un mécanisme de chronographe à roue à colonne qui permet la mesure des temps courts à l’aide d’un monopoussoir parfaitement intégré à la boîte et localisé à 9h. Une pression sur le discret bouton lance la trotteuse centrale. Une autre stoppe les rouages. Pour la remise à zéro, il suffit d’appuyer sur la couronne située à 3h. Côté cadran, les informations temporelles s’affichent de façon traditionnelle. Les aiguilles de forme glaive pointent un chemin de fer composé de chiffres romains dont un VII portant la signature secrète de la manufacture. Une petite seconde à 9h renseigne sur le bon fonctionnement du calibre. Les deux compteurs à 3 et 6h totalisent respectivement les minutes et les heures. Un guichet également placé à 6h permet d’incrémenter la date.

Au sein d’un boîtier galbé (43.3 x 51.3mm) décliné en or rose, en une combinaison d’acier et d’or jaune ou encore en une association d’acier et d’ADLC, un mouvement à remontage automatique, le calibre 1904-CH MC, orchestre l’ensemble et assure 48 heures de réserve de marche une fois totalement remonté.

La Santos Chronographe bénéficie du nouveau système de bracelets interchangeables, Quickswitch. Acier, cuir d’alligator ou caoutchouc, quelle que soit votre préférence, vous pourrez habiller votre poignet en toute facilité et accorder le bracelet à votre style.

Prix à partir de 7’200 EUR (acier)

Par Dan Diaconu

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Réalisé en damier de peinture miniature, carreaux de nacre et diamants, l’animal emblématique de la maison parisienne revêt un tout autre visage, intense et mystérieux, lorsque tombe la nuit.

Devenue l’emblème de Cartier dans les années 1930, la panthère aime s’inviter sur les cadrans des montres réalisées par la maison parisienne et possède même une collection à son nom. Comme chaque année dans le cadre du SIHH, Cartier a démontré toute sa force créative en présentant de nombreux garde-temps dont cette pièce à deux visages, la Montre Ronde Cartier Regard de Panthère, qui comme son nom l’indique met en scène le félin fétiche.

Edition limitée à 30 exemplaires seulement, celle-ci dévoile sur son visage la tête du fabuleux animal qui semble tapi derrière un rideau de hautes herbes, fixant sa future proie. Le cadran est habillé d’un damier réalisé en peinture miniature. Cette mosaïque inclut de petits carreaux de nacre blanche et une nuée de diamants qui fait écho aux pierres installées sur la lunette et la couronne perlée. Le regard troublant de la panthère est ourlé de Super-LumiNova®. Ainsi lorsque la nuit tombe sur la savane, que la montre se retrouve plongée dans l’obscurité, le grand fauve se transforme en un prédateur redoutable ne laissant que ses yeux en amande briller dans le noir.

Sur la partie supérieure du museau du félin, entre ses yeux justement, naissent deux aiguilles de style Breguet à pomme évidée en acier doré. Elles affichent en toute discrétion les heures et les minutes, rythmées par le calibre 1847 MC à remontage automatique. Lequel dispense une réserve d’énergie de 40 heures et loge au sein d’un boîtier en or jaune de 36mm de diamètre.

La Montre Ronde Cartier Regard de Panthère se porte au choix sur un bracelet en cuir d’alligator à grandes écailles noir brillant ou semi-mat marron avec une boucle déployante en or jaune.

Prix sur demande

Par Sharmila Bertin

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Le dernier Salon International de la Haute Horlogerie a dévoilé ses pépites. L’une d’entre elles est assurément cette Santos-Dumont qui perpétue l’esprit raffiné du modèle original.

Si le nom de Santos-Dumont évoque bien sûr les débuts de l’aviation au XXème siècle, il est aussi intimement lié à l’horlogerie depuis que Louis Cartier a créé une montre-bracelet pour son ami brésilien en 1904. Ce modèle fut commercialisé dès 1911 sous le nom de Santos puis est devenu par la suite une collection à part entière au sein de la maison parisienne. Cette année, la marque donne un nouvel envol à ce garde-temps historique avec des références portant le nom de l’intrépide aviateur. Le style voulu impeccable reste fidèle à l’original. Le boîtier combine ainsi sobriété et distinction. Il s’habille d’acier, d’or ou des deux matières pour répondre à tous les goûts.

On retrouve les principales caractéristiques esthétiques propres à Cartier. Les vis apparentes sont bien présentes sur le dessus de la boîte. Côté cadran, des aiguilles bleuies pointent des chiffres romains. La couronne de remontoir perlée accueille un cabochon bleu. La signature secrète apposée dans le VII n’est pas oubliée. Deux tailles de boîte sont disponibles. Une déclinaison en petit modèle, 38.5mm de côté, et un grand modèle, offrent la possibilité à ces références d’être portées aussi bien par des poignets masculins que féminins.

La Santos-Dumont de Cartier surprend également par sa finesse, 7mm d’épaisseur. Elle trouve son origine par la présence non pas d’un calibre mécanique mais d’un mouvement à quartz. Celui-ci bénéficie des dernières innovations en matière d’économie d’énergie. Le propriétaire de la montre ne changera la pile que tous les six ans. Toutes ces références s’accompagnent d’élégants bracelets en cuir d’alligator.

Prix à partir de 3’500 EUR

Par Dan Diaconu

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