La marque genevoise reproduit sur le visage de cette montre en acier gansée de diamants l’impression d’émerveillement ressentie lorsque le regard se lève vers le ciel nocturne et embrasse une nuée d’étoiles.

Née en 1999, la collection Highlife de Frederique Constant a été redessinée avec succès il y a trois ans, en 2020, puis déclinée en une version aux dimensions contenues en 2021. Son nouveau modèle dévoilé au début du printemps et limité à seulement 888 exemplaires, la montre Highlife Ladies Automatic Sparkling, évoque avec un lyrisme subtil la beauté d’une nuit étoilée lorsque l’azur adopte une teinte plus soutenue que réveillent les reflets argentés des astres. Il rappelle ainsi, avec une grande douceur, à quel point il est important d’embrasser la nature du regard, de lever les yeux vers le ciel et de laisser la magie opérer.

Highlife c’est avant tout une silhouette galbée, ergonomique, incarnée par un corps ici en acier aux mesures idéales pour les poignets fins (34mm de diamètre et 9.80mm d’épaisseur) qui intègre harmonieusement un bracelet fait de trois rangs de maillons usinés dans le même métal. Ce dernier peut être aisément remplacé par deux brins de caoutchouc blanc pour une allure plus sportive, plus estivale.

Ensuite, Frederique Constant a opté pour un visage nappé d’un bleu crépusculaire qui tire délicatement vers le paon et saupoudré de paillettes argentées. L’effet stellaire est accentué par la présence de duos de brillants entrecoupés d’index. Au centre de ce tableau poétique, deux aiguilles de type bâton, luminescentes, affichent les heures et minutes, accompagnées d’une trotteuse longiligne. La date est indiquée en noir sur fond blanc pour une lisibilité optimale dans un guichet à 3h. Le boîtier ceinturé d’un ruban de diamants de la Highlife Ladies Automatic Sparkling renferme le calibre FC-303 cadencé sur 4hz qui fournit une réserve d’énergie de 38 heures une fois totalement remonté via sa masse oscillante dorée.

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Double célébration pour la jeune marque genevoise qui fête simultanément son 35^ème anniversaire et sa première participation au salon Watches and Wonders, et présente pour l’occasion une interprétation contemporaine du tourbillon en édition limitée.

Dans un milieu dominé par de grands acteurs souvent centenaires, plus rarement bicentenaires, être jeune revêt des avantages: celui de pouvoir tracer son propre chemin, d’innover avec de nouveaux modèles ou de réinterpréter la tradition horlogère avec une vision contemporaine. Frederique Constant excelle dans sa maîtrise de ces talents, tout en se calant sur une stratégie de prix réaliste et accessible pour un large public. La marque née en 1988 et installée à Genève fête cette année un double événement: son 35^ème anniversaire et sa première participation au très exclusif salon Watches and Wonders. Cette célébration se traduit par la réalisation de la Classics Tourbillon Manufacture, une pièce prestigieuse intégralement imaginée, développée et assemblée dans ses ateliers.

Limitée à 150 exemplaires seulement, la montre présente un boîtier en or rose mesurant 39mm de diamètre pour 10.99mm d’épaisseur, soit des dimensions qui conviennent à une majorité de poignets. Son fond transparent dévoile une partie des rouages de son mouvement à remontage automatique de manufacture, le calibre FC-980, qui bat à la fréquence standard de 4hz et fournit une réserve de marche de 38 heures.

Ce moteur produit dès 2008 rythme, sur le cadran anthracite délicatement soleillé et cintré d’index facettés de forme goutte, l’affichage traditionnel des heures et minutes au centre par deux aiguilles dorées de type lancine, et la danse élégante d’un tourbillon placé dans une ouverture à 6h et muni d’une petite trotteuse. Afin de parfaire l’esprit intemporel de la Classics Tourbillon Manufacture, Frederique Constant  propose de la porter avec un bracelet en cuir d’alligator chocolat mat et une boucle déployante en or rose.

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Parfaitement identifiable grâce à son visage arborant la gravure d’un globe et à son corps aux lignes dynamiques, la montre stylée de l’horloger genevois se décline désormais en un chronographe compax, disponible en trois versions.

Loin de l’image d’une mégapole dont les trottoirs seraient arpentés en flux continu par une marée humaine compacte, dans une ambiance à la fois électrique et grisâtre, le style urbain qu’imagine Frédérique Constant au travers de sa jeune collection Highlife est une invitation à inscrire son propre rythme dans un monde qui tourne parfois trop vite. Et pour mesurer ce temps à sa juste valeur, la marque installée à Genève propose désormais un nouvel objet aux lignes dynamiques: le Highlife Chronograph Automatic, qui se décline en trois versions dont une bicolore en plaqué or rose et une aux nuances bleues type “panda“ limitée à 1’888 exemplaires.

La force de caractère de la Highlife Chronograph Automatic réside dans l’harmonie dégagée par son boîtier en acier de 41mm de diamètre et 14.22 d’épaisseur, aux cornes pleines pour mieux fusionner avec le bracelet et aux poussoirs délicatement oblongues. Elle est confirmée par la silhouette gravée d’un globe terrestre qu’arbore le cadran blanc, argenté ou noir. C’est sur cette Terre finement creusée que reposent les trois compteurs: la petite seconde à 9h qui complète l’affichage des deux aiguilles centrales, et les totaliseurs des minutes et heures du chronographe respectivement situés à 3 et 6h et alimentés par la grande trotteuse. Discrète, la date apparaît à 4h30.

Ces indications sont fournies par le calibre FC-391, un mouvement automatique 4hz équipé d’une masse oscillante en or rose et qui délivre 60 heures de réserve d’énergie une fois pleinement remonté. Chaque montre, qu’elle soit sur bracelet à maillons d’acier ou en cuir, est accompagnée d’un second lien en caoutchouc, sauf la version blanche et bleue qui dispose des trois options.

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Couleur intemporelle, le bleu marine qui évoque les flots de l’océan est la teinte idéale pour habiller le cadran de deux nouveaux chronographes, proposés en édition limitées, de la marque genevoise.

La nature offre de si belles couleurs, pures et intenses, qu’elle représente une source d’inspiration infinie. Comme le bleu, par exemple, que l’on emprunte à l’univers océanique et fait immédiatement naître en nous l’image d’une mer calme, de flots berceurs et, pourquoi pas, d’une plage sur laquelle se prélasser. C’est la couleur qu’a choisi Frédérique Constant pour habiller le visage d’un nouveau duo de montres Runabout Chronograph Automatic, deux références disponibles chacune en 888 exemplaires.

Mesurant 42mm de diamètre, le boîtier étanche jusqu’à 50m de profondeur est en acier poli ou plaqué en or rose. Il abrite le calibre F-392, un mouvement automatique cadencé sur 4hz et délivrant 55 heures de réserve de marche une fois pleinement remonté, soit 9 heures de plus que les modèles précédents.

Le cadran présente un centre paré d’un motif guilloché Clous de Paris sur lequel reposent trois compteurs azurés, la petite seconde indiquée à 9h et les totaliseurs des minutes et des heures du chronographe respectivement placés à 12h et 6h. Au centre, deux aiguilles de type lancine, argentées ou dorées, pointent des index et chiffres arabes luminescents et une minuterie sur le réhaut, qu’accompagne la trotteuse chargée de gérer la mesure des temps courts. Une fenêtre de date affichée en noir sur fond blanc à 6h complète l’ensemble de ces fonctionnalités.

La Runabout Chronograph Automatic se porte sur un bracelet en cuir de veau bleu marine embossé pour un effet alligator et bordé de coutures blanches que ferme une boucle déployante.

Prix: 2’695 EUR (acier) – 2’895 EUR (acier plaqué or rose)

Par Sharmila Bertin

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La marque horlogère basée à Genève propose deux nouveaux modèles dans sa collection Classics qui arborent sur leur cadran un affichage sur 24 heures, offrant ainsi une lecture de l’heure différente

Sur le cadran d’une montre, l’heure se lit traditionnellement sur 12 heures à l’aide d’une aiguille survolant une série d’index ou chiffres. Cependant, avec ce système, on ne peut distinguer le jour de la nuit à moins de regarder par la fenêtre, information impossible à obtenir pour un plongeur immergé dans les grandes profondeurs de l’océan ou un astronaute voguant dans l’espace. Pour ces profils atypiques mais aussi pour tous ceux qui souhaitent une lecture de l’heure différente, Frédérique Constant a conçu un nouveau modèle baptisé Classics Automatic 24H qui se décline en deux variantes.

Positionnées sur un segment de prix plus qu’attractif puisque ces deux montres ne dépassent pas les 1’000 CHF, celles-ci arborent un affichage sur 24 heures. En effet, au centre du cadran décoré du motif Clou de Paris, disponible en gris argenté ou anthracite, un anneau satiné présente cette fameuse indication inscrite en chiffres arabes noirs ou blancs. L’heure dite classique, soit sur une échelle de 12, ainsi que les minutes se lisent grâce à un couple d’aiguilles de style dauphine, argentées et luminescentes. Quant aux secondes, elles sont égrenées par une trotteuse centrale.

Le boîtier en acier mesurant 43mm de diamètre et supportant des immersions jusqu’à 100m de profondeur abrite le calibre FC-332. Ce mouvement mécanique à remontage automatique, qui vibre à la fréquence standard de 4hz, dispense 38 heures de réserve d’énergie.

Un bracelet en cuir façon crocodile de couleur gris foncé complète l’esprit intemporel et élégant de cette Classics Automatic 24H.

Prix: 995 CHF

Par Sharmila Bertin

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