Bousculer les codes, Richard Orlinski en a fait sa marque de fabrique avec ses sculptures facettées, infusées de références pop art. Chahuter les conventions fait aussi parti de l’ADN d’Hublot. En 2017, l’artiste français contemporain débute une fructueuse collaboration avec la manufacture. Celle-ci prend forme sous les traits de garde-temps aisément identifiables, anguleux et colorés. Cette année, et pour la première fois, la touche Orlinski est omniprésente sur le boîtier en titane de 40mm de diamètre mais aussi sur le cadran et sur le bracelet métallique intégré composé de 83 pièces. Un véritable tour de force technique au regard de la complexité de l’ouvrage !
Derrière le sublime cadran tout en relief, en céramique noire ou blanche, évolue le calibre HUB1100. Ce mouvement à remontage automatique délivre 42 heures de réserve de marche. Pendant cette durée, il propulse avec précision le traditionnel binôme d’aiguilles des heures et des minutes de type dauphine tandis que la trotteuse centrale avec le logo d’Hublot en contrepoids marque la seconde. « J’aime l’idée que dans une œuvre quelle qu’elle soit, on puisse capturer l’instantané d’une émotion et la restituer à l’état brut dans le regard de l’autre, faire que l’imaginaire sublime et explore ce que l’artiste a transfiguré par son travail. » La pensée d’Orlinski prend vie avec la Classic Fusion Orlinski Bracelet. Ici, bracelet et boîte ne font qu’un. La surface, tel un pliage tridimensionnel, dévoile l’emblématique finition poli miroir. Comme les œuvres du plasticien, la montre délivre alors un fort impact visuel. De quoi satisfaire les poignets féminins et masculins en quête d’anticonformisme !