Avec cette édition limitée de seulement 12 pièces, la manufacture joue avec ses propres codes. Les métiers d’art et les artisans virtuoses nous délivrent de la morosité.

Plus qu’une simple adresse parisienne, le 24 faubourg Saint-Honoré est une invitation à pousser la porte d’un imaginaire fascinant, d’une créativité sans limite portée par des savoir-faire exclusifs. Pour célébrer cet emblématique bâtiment chargé d’histoires et de passions, Dimitri Rybaltchenko a dessiné une œuvre originale qui est venue orner par le passé un carré de soie. En cette fin d’année, la montre Slim d’Hermès Flagship adapte cette création onirique à ses dimensions.

Son cadran en aventurine brille ainsi par la présence d’une délicate peinture et d’une gravure miniature rehaussées de couleurs flamboyantes. Toutes voiles dehors, le vaisseau amiral de la maison parisienne évolue dans un ciel constellé tandis que l’indispensable duo d’aiguilles opère ses girations. Une étoile mobile positionnée à 4h apporte une touche de fantaisie. Faut-il le rappeler, le temps Hermès n’est jamais ennuyeux. Chaque pièce de cette série dispose d’un boîtier de 39.5mm de diamètre usiné en or jaune, lequel reprend les lignes épurées et intemporelles de celui dessiné en 2015 par Philippe Delhotal, directeur de la Création d’Hermès Horloger. Cet écrin élégant s’accompagne d’un bracelet confectionné en cuir d’alligator bleu abysse, lequel s’accorde harmonieusement avec les tonalités de la scénographie. Il protège le fin calibre H1950 vibrant à 21’600 alternances par heure. Ce mouvement à remontage automatique fabriqué en Suisse offre 48 heures de réserve de marche à la Slim d’Hermès Flagship. Être facétieux n’empêche pas d’être rigoureux!

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À l’occasion de TimeForArt organisée le 7 décembre prochain, la marque indépendante présente la pièce unique qui sera mise en vente pour cet événement par Philips Auctioneers.

De Frank Sinatra à Jay-Z, en passant par Lou Reed, Bruce Springsteen, Sting ou encore Taylor Swift, la Grande Pomme a été, est et sera toujours une source d’inspiration. Chaque génération peut associer New York à une chanson. Déambuler dans les allées de Central Park forge aussi des souvenirs marquants comme ceux issus des multiples pérégrinations de Christelle Rosnoblet, CEO de Speake Marin. Ces réminiscences ont ainsi orienté la boussole de sa marque vers les métiers d’art pour la création d’un véritable chef-d’œuvre. Cette pièce unique dénommée Promenade à New York sera mise en vente lors des prochaines enchères caritatives TimeforArt.

Sur son cadran en nacre, une peinture miniature réalisée à la main représente une vue automnale du célèbre Gapstow Bridge. Des couleurs intenses donnent vie à ce décor d’une grande finesse tout en profondeur. Dessus, on retrouve le duo d’aiguilles dont celle des heures en forme de cœur. Décentrée à 1h30, la petite seconde en forme de roue des anciens tours d’horloger évolue avec régularité propulsée par le calibre SMA03 équipé de son micro-rotor. Ce mouvement à remontage automatique aux finitions exemplaires assure 52 heures de réserve de marche à la montre. Ce mécanisme assemblé au moyen de 147 composants intègre un boîtier en titane de 42mm de diamètre combiné à un bracelet en cuir taupe fermé par une boucle ardillon. Une association idéale pour explorer à son rythme et selon sa personnalité toutes les allées de New York ou d’ailleurs. Be yourself, no matter what they say…

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Pour rendre hommage aux aventures qui ont forgé notre imaginaire, les Friends font de nouveau appel à la dextérité de l’un des plus talentueux graveurs contemporains.

Après avoir mis sa virtuosité au profit d’une série de huit cadrans de Legacy Machine Split Escapement représentant l’univers onirique de Jules Verne, Eddy Jaquet réitère cette prouesse artistique avec des créations réalisées à partir des incontournables romans de la littérature de jeunesse. Les trois mousquetaires, Le dernier des Mohicans, Le livre de la jungle, L’appel de la forêt, Moby Dick, L’île au trésor et Robin des bois servent ainsi de source d’inspiration à de nouveaux chefs d’œuvres d’une extrême finesse. Chaque gravure nous plonge dans nos souvenirs de lecture et vient sublimer les huit pièces uniques LM Split Escapement Eddy Jaquet 2024 signées MB&F.

Toutes les montres associent un boîtier en acier de 44.5mm de diamètre au calibre à échappement dissocié. La roue de balancier suspendue à ses arches surplombe la délicate scénographie. Spectaculaire par sa construction, ce mouvement à remontage manuel développé par l’horloger Stephen McDonnell n’en est pas moins performant. Il dispose d’un double barillet dans lequel s’emmagasine une réserve de marche de 72 heures. L’indicateur positionné à 5h informe de l’énergie encore disponible. Le sous-compteur logé à 7h affiche la date tandis que les heures et les minutes se lisent dans un espace dédié décentré à 12h. Les LM Split Escapement Eddy Jaquet 2024 mettent en exergue la délicatesse du geste du graveur. Les scènes figées regorgent de détail. La texture obtenue donne du relief à chacune d’entre elles. Grâce à ce tour de force, les parcourir procure autant de plaisir que de tourner les pages des histoires passionnantes de notre enfance dévorées jusque tard dans la nuit.

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La manufacture dévoile une étonnante édition limitée à trois exemplaires associant l’élégant design créé par Philippe Delhotal en 2015 à une exigeante technique d’émaillage.

Une créativité foisonnante trouve avec les carrés de soie de la maison parisienne un terrain fertile d’expression. Pour l’illustrateur néerlandais Viktor Hachmang, son univers futuriste a été récompensé lors du Grand Prix du Carré Hermès. La fusion d’un graphisme inspiré par l’art japonais raffiné et la culture pop de la bande dessinée a donné vie à l’aide de motifs géométriques rehaussés de couleurs vives à un mystérieux cavalier chevauchant sa flamboyante moto. À l’arrière-plan se dessine la devanture d’un magasin évoquant le mythique et historique 24 Faubourg Saint-Honoré, à Paris. Cette composition se retrouve cette année sur le couvercle réalisé en émail champlevé de la Slim d’Hermès Pocket Mysterious Rider. Comme le rappelle Hermès, “la technique exigeante qui consiste à creuser de minuscules alvéoles dans le métal, à les remplir de poudres de verre coloré mélangées à des huiles naturelles, puis cuites à plusieurs reprises dans un four à plus de 800 °C afin d’en fixer les pigments“

Cette montre de poche dotée d’un boîtier de 45mm de diamètre usiné en or blanc intègre un cadran en émail d’une grande pureté. Les découpes pratiquées mettent en exergue d’élégants chiffres à la typographie remarquable et le logo. Leurs teintes vermillon s’accordent idéalement à la tonalité globale de cette création.

Dessus, le binôme d’aiguilles des heures et des minutes est animé par un mouvement à remontage automatique. Le calibre extra-plat H1950 délivre 42 heures de réserve de marche. Pour garantir une harmonie visuelle, la Slim d’Hermès Pocket Mysterious Rider s’accompagne d’une lanière en cuir d’alligator mat rou

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Fidèle à son attachement pour l’océan depuis ses premiers chronomètres de marine il y a près de deux siècles, l’horloger loclois se tourne vers la terre pour lui emprunter un minéral aux teintes bleutées et verdoyantes afin d’en habiller le visage d’une montre.

A la fin de chaque été, lorsque les rayons du soleil se font moins intenses, que les températures descendent doucement et que le ciel se couvre de nuages grisonnants, la nostalgie des vacances refait surface. On troque son maillot de bain pour un pull moelleux, on remplace ses sandales de plage par des chaussures fermées, et pourtant, pour Ulysse Nardin, l’océan n’est jamais loin. L’horloger loclois qui a bâti sa réputation en développant des chronomètres de marine dès sa fondation continue de solidifier son lien puissant avec les activités nautiques et subaquatiques, comme le prouve la nouvelle montre Diver [Atoll] à arborer au poignet 365 jours par an.

Fascinant, le cadran de cette édition limitée à 100 pièces est recouvert d’un disque de chrysocolle, un minéral découvert au cours de l’Antiquité, richement pigmenté en teintes  intenses. Zébré de marbrures ocre semblables à des bancs de sable, ce nuancier turquoise, marine, émeraude évoque les eaux bordant un récif corallien. Onze brillants illuminent ce visage océanique, balayés par un trio d’aiguilles centrales, argentées et luminescentes, tandis qu’un hublot à 6h dévoile la date en noir sur fond blanc.

Les heures, minutes et secondes sont animées par le calibre UN-816, un mouvement automatique 4hz qui délivre une réserve d’énergie de 42 heures une fois pleinement remonté. Il loge au sein d’un boîtier étanche à 300m de profondeur, mesurant 39mm de diamètre et usiné en acier dont 80% du métal est issu du recyclage. Une lunette tournante unidirectionnelle gansée de diamants et de chiffres arabes gravés en bleu pour signaler les quarts coiffe cet ensemble. Selon les aventures auxquelles se destine la Diver [Atoll], Ulysse Nardin propose de la porter avec un bracelet en caoutchouc blanc texturé ou en cuir d’alligator subtilement nacré.

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L’esprit d’excellence s’épanouit au sein de cette série limitée de 100 pièces. Chacune bénéficie de la certification octroyée à l’issue du test des 500 heures du Laboratoire Montblanc.

Presser un unique poussoir pour lance une mesure des temps courts. Une seconde action la stoppe. Une troisième remet le mécanisme à 0. Derrière cette simplicité d’utilisation de la montre 1858 Unveiled Minerva Monopusher Chronograph se cache une complexité et le savoir-faire exceptionnel des horlogers Montblanc. 291composants donnent ainsi vie au calibre MB M17.26. Son architecture singulière inversée offre une vision pertinente sur celle-ci dans le moindre détail. Sa platine en maillechort bleui sert d’arrière-plan à un dédale mécanique qui ne laisse rien au hasard. Placé au-dessus, le pont de chronographe cohabite avec la roue à colonnes et l’embrayage horizontal. Des rouages aux teintes chaudes opèrent leurs girations respectives tandis que les éléments tout en arabesque rappellent que la douceur des courbes favorise l’harmonie visuelle, renforce son dynamisme.

Au sein du boîtier en acier de 43mm de diamètre et de 14.78mm de haut, orné d’une lunette cannelée en or blanc, satinée et polie, les aiguilles des heures et des minutes blanches luminescentes, la petite seconde à 9h progressent en rythme. La trotteuse centrale, le compteur 30 minutes à 3h aux atours azur profitent des 50 heures de réserve de marche pour exercer avec rigueur leur chorégraphie saccadée. Cinq ouvertures en saphir dans la carrure permettent d’apprécier sous tous les angles le mécanisme étagé en action. L’expression de la plus élégante tradition horlogère s’écrit ici en mode majeur avec ce chronographe monopoussoir.

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La manufacture genevoise célèbre, au travers de deux couples de garde-temps, le graphisme folklorique du Japon et s’appuie sur sa tradition artisanale pour proposer deux interprétations, l’une classique et l’autre moderne, d’un motif riche en symbolique.

Une fois de plus, Vacheron Constantin transcende son rôle d’horloger pour endosser également ceux d’artiste, d’explorateur et d’historien. En effet, la manufacture genevoise remonte l’échelle du temps tout en voyageant vers les territoires nippons où s’exprime une riche culture folklorique qu’elle traduit et retranscrit sur ses montres, à l’instar de Flot Éternel et Éclats de lune, les modèles qui composent la série Métiers d’Art Hommage aux symboles traditionnels. Ces deux couples de pièces, chacun édité en or blanc ou rose et à 15 exemplaires par référence, réinterprètent le motif Seawater Cliff, un dessin longtemps réservé à la famille impériale japonaise et aujourd’hui synonyme de chance.

Seawater Cliff, qui représente une montagne battue par les marées et s’élevant vers le ciel, incarne la stabilité de la force territoriale. Pour travailler l’allure plus classique de Flot Éternel, les ateliers de Vacheron Constantin ont employé la technique de l’émail cloisonné (sur le cadran) couplé à la gravure (sur le boîtier de 38mm de diamètre), tandis que pour Éclats de lune, au graphisme plus moderne, ils ont eu recours à l’émail Grand Feu, la gravure sur émail et au sertissage. Au centre de ces tableaux miniatures adoubés par le Poinçon de Genève, un binôme d’aiguilles de style feuille affichent discrètement les heures et les minutes sous l’impulsion du calibre 2460, un mouvement 4hz qui se remonte automatiquement par le va-et-vient de sa masse oscillante en or ciselé et délivre une réserve d’énergie d’environ 40 heures.

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Parce que le temps présente une dimension philosophique selon la sensibilité de chacune et chacun, la maison parisienne fait de lui un reflet de soi, une nouvelle pensée à approfondir au rythme des heures.

Amener de nouveaux arguments pour pousser à la cogitation, construire la pensée, à philosopher sur le temps qui s’écoule inexorablement, est une douce marotte pour Cartier. Toutefois, avec la montre Reflection, la maison parisienne cumule une autre de ses spécialités: le travail des formes. Cette association permet ainsi non seulement de développer l’esprit mais aussi d’éveiller les sens, tel un jeu qui lierait l’imagination et le toucher, le cerveau et la pulpe du doigt.

Lors de Watches and Wonders, à Genève, il y a quelques mois le joailler-horloger français a présenté cinq fines manchettes qui affichent l’heure, deux versions en or de couleur, jaune ou rose, et trois en or blanc tapissés de diamants, seuls ou accompagnés de pierres aux teintes élégantes (émeraude, chrysoprase, tourmaline turquoise, obsidienne, opale, grenats spessartites, améthyste et oeil-de-tigre).

Chacun de ces joncs épais réinterprète librement le vocabulaire rigide de la géométrique en offrant un corps à la fois plein et ajouré, anguleux et arrondi, lisse et rugueux. L’une des extrémité dévoile un cadran clair avec des chiffres romains noirs ou recouvert de brillants que parcourt un duo de petites aiguilles de style glaive, tandis que l’autre est recouverte d’une surface fortement polie. Le temps se reflète ainsi dans ce miroir, bousculant les repères et proposant de suivre son cours normal ou, si on a l’âme poétique, de le remonter. La montre Reflection mesure 18.4 x 17.5mm pour une hauteur de 8.9mm et renferme un mouvement à quartz qui alimente la ronde des heures et minutes.

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En cette année zodiacale tournée vers le mystérieux et protecteur animal mythique, la manufacture propose aux collections trois pièces d’exception finalisées grâce aux métiers d’art.

L’heure sautante est à l’honneur cet été chez Chopard avec trois séries limitées exclusives éditées chacune à seulement huit exemplaires. Toutes disposent d’un boîtier de 40mm de diamètre et de 10.30mm de haut dans lequel on retrouve le fin calibre L.U.C 98.06-L. Ce performant mouvement à remontage manuel délivre grâce à la présence de quatre barillets et près de deux mètres de ressorts, 192 heures, soit huit jours, de réserve de marche. Durant cette longue période, il anime l’affichage de l’heure par saut instantané dans son cadran à 6h et la grande aiguille de type dauphine des minutes. Un indicateur au dos précise de l’énergie encore disponible. Le fond saphir permet en outre d’apprécier les gravures sur les composants et les délicates côtes de Genève qui viennent orner les ponts.

Ce trio de L.U.C Quattro Spirit 25 Years of the Dragon se distingue par l’or éthique choisi pour leur écrin et la décoration présente sur leur cadran. Toutes ces créations mettent en exergue le savoir-faire artisanal pluriel de la manufacture. L’une associe l’or blanc à un motif de dragon peint et exécuté à la main sur un émail grand feu épuré. Le second garde-temps combine l’or rose à une gravure d’une grande richesse de l’animal mythologique. Le dernier modèle L.U.C Quattro Spirit 25 Years of the Dragon positionne au sein d’un ciel vaporeux la créature chimérique à l’aide d’applique en or jaune. Le précieux métal donne vie à la crinière et aux moustaches. Une nacre illumine ses yeux. L’ensemble éblouit les nôtres.

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L’univers exigeant de l’équitation trouve dans celui du sellier parisien un prolongement créatif naturel à l’instar de ces deux nouvelles réalisations aussi précieuses qu’élégantes.

Pour lutter contre Le temps qui file au galop, Hermès insuffle de la fantaisie dans les montres de ses collections. Les modèles Arceau Grand Tralala brides et mors dernièrement dévoilés illustrent cette volonté de légèreté. Ainsi, au sein d’un boîtier de 34mm de diamètre usiné en or rose, cerclé d’une lunette sertie de 64 diamants, une scénographie originale et raffinée des informations temporelles convie l’imaginaire à s’évader des conventions à l’aide de détails inspirés de monde équestre. Que ce soit sur un cadran en laque blanche pailletée ou noir galvanique, 110 diamants viennent illuminer une représentation graphique d’une lanière et le cercle de la petite seconde. L’aiguille de celle-ci prend la forme d’une boucle, jumelle d’un mors accroché à 1.

Cette composition trouve ses origines dans le dessin du carré de soie Grand Tralala dessinée par l’artiste française Virginie Jamin, lui-même inspiré des montures de la Garde du corps royale hongroise en charge de la protection de l’empereur François-Joseph 1^er d’Autriche au XIX^ème siècle. L’ensemble est mis ici en valeur par l’iconique écrin crée par Henry d’Origny en 1978 sur lequel vient s’attacher un bracelet confectionné en cuir d’alligator à la teinte cordonnée à celle du cadran. Les délicates aiguilles des heures et des minutes réglées par une couronne sertie sont propulsés par le calibre maison H1912. Ce mouvement à remontage automatique délivre 50 heures de réserve de marche à cette référence qui chevauche le quotidien avec distinction et finesse.

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Fidèle à la délicate poésie que dégage ses garde-temps, la maison parisienne insuffle un léger zéphyr estival pour faire frémir le jardin fleuri et virevolter les papillons installés sur le cadran d’une de ses œuvres horlogères.

Réveiller un souvenir d’enfance, d’une promenade dans une clairière, les pieds nus enfoncés dans le tapis verdoyant et mousseux, les yeux rivés vers le ciel, le capturer comme on le ferait avec un appareil photo pour le retranscrire, avec une délicatesse inouïe, sur le visage d’une montre. Van Cleef & Arpels ne se contente pas de créer des garde-temps: elle garde le temps, lui insuffle la poésie d’un moment à conserver comme un trésor sacré, un instant emprunté à la nature tel le souffle léger d’un zéphyr qui s’inviterait dans un jardin pour faire frémir les hautes herbes, danser les fleurs sauvages et virevolter les papillons. Exceptionnelle, la pièce Lady Arpels Brise d’Été témoigne de la beauté d’un paysage en mouvement.

Pour réaliser ce merveilleux tableau champêtre, la maison parisienne s’est appuyée sur le talent des métiers d’art qu’abritent ses ateliers genevois et conjugue ainsi différentes techniques d’émaillage – plique-à-jour, vallonné et champlevé –, de peinture miniature et sertissage, qui confèrent, outre de riches teintes, translucidité, brillance et relief pour un réalisme saisissant. Deux lépidoptères, aux ailes bleues ou jaunes, suivent un arc de cercle gradué pour indiquer les heures. Une simple pression sur la targette située à 8h sur la carrure du boîtier en or blanc de 38mm de diamètre suffit à les stimuler pour effectuer une ronde tandis que les fleurs bleues ondulent au gré d’un vent imaginaire. Cette animation spectaculaire est opérée grâce à un module d’automate greffé au mouvement à remontage automatique chargé de rythmer l’affichage du temps.

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À mi-chemin entre talisman et égérie, la petite mascotte de la maison parisienne poursuit son exploration des trésors qu’offre le monde et s’aventure en terres nippones pour y découvrir la saison des cerisiers en fleurs.

La simple mention du nom de Louis Vuitton évoque instantanément les fameux bagages du prestigieux malletier parisien qui contribuèrent à sa renommée mondiale vers la seconde moitié du XIX^ème siècle, et par extension à l’art sacré du voyage. Cette envie d’évasion appliquée à l’ère moderne se traduit par l’exploration des trésors qu’offre le monde par Vivienne, ce petit personnage mi-talisman mi-égérie créé en 2017 qui s’invite  dans tous les corps de métiers de la marque dont l’horlogerie depuis quatre ans. La mascotte dont la silhouette s’inspire de la Fleur de Monogram s’aventure en terres nippones pour y découvrir ses célèbres cerisiers au travers de la montre Tambour Slim Vivienne Heures Sautantes Sakura.

Pour réaliser cette pièce, les artisans de La Fabrique du Temps Louis Vuitton se sont appuyés sur différents matériaux et techniques décoratives voire artistiques. Ainsi le cadran en nacre rose polie et sablée dévoile une tapisserie florale parsemée de brillants et des branches bourgeonnantes peintes à la main. Vivienne se tient au centre de ce décor, habillée du traditionnel kimono et coiffée de diamants. L’emblématique figurine tient une ombrelle de sa main droite tandis que l’éventail portée par sa gauche affiche, en alternance avec le hublot situé vers 8h, l’heure sautante. Les minutes, quant à elles, sont indiquée par une aiguille transparente centrale terminée d’une fleur de cerisier. Ces fonctionnalités sont assurée par le calibre LV180, un mouvement automatique qui fournit 42 heures de réserve de marche et loge au sein du boîtier en or blanc de 38mm de diamètre dont la lunette est recouverte de gemmes.

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Les figures allégoriques rappellent le caractère inéluctable de la fuite du temps et de l’éphémère existence. Ces éditions chargées en symbole nous le rappellent avec fantaisie.

Le motif du carré de soie Chorus Stellarum dessiné par Daiske Nomura pour Hermès prend littéralement vie au sein de deux séries limitées Arceau Chorus Stellarum produite à six exemplaires chacune. L’imaginaire de l’artiste japonais tourné vers les robots et les dragons métamorphose les thèmes chers à la maison parisienne et les transporte dans un univers futuriste. Ainsi, sur les cadrans, le squelette d’un cavalier ou d’une cavalière montant en amazone, selon la version, chevauche son destrier respectif. Les figurines ciselées en or jaune 2N et peintes à la main s’animent à l’aide d’une pression sur le discret poussoir logé dans la carrure à 9h. Ces représentations facétieuses de ces vanités gothiques défient alors le temps dans un décor composé de constellations finalisé au moyen de la délicate technique d’émail champlevé rehaussé de laque. Ces mises en scène colorées intègrent l’emblématique boîtier dessiné par Henri d’Origny en 1978 en or blanc 750 de 41mm de diamètre. L’animation “Impulsion à la demande“ est orchestrée par le calibre H1837. Bien qu’elle requière une certaine quantité d’énergie, les aiguilles des heures et des minutes disposent de 50 heures de réserve de marche fournit par ce mouvement à remontage automatique.

Pour un accord parfait, la montre Arceau Chorus Stellarum se porte sur un bracelet en alligator mat bleu abysse. La variation féminine aux teintes douces dotée d’une lunette sertie de 70 diamants s’accompagne quant à elle d’un bracelet gris perle. La stupéfiante chevauchée demeure élégante en toutes circonstances.

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INe serait-il pas le temps de se reconnecter à la nature? Comme un tableau d’Arcimboldo, ici, chaque création lie un cycle à un animal chimérique et rappelle que la vie est une fête.

Hymne aux richesses et à la diversité de la nature, le quatuor onirique Slim d’Hermès Le Sacre des Saisons évoque les différents climats qui rythment l’année. Pour ces quatre pièces éditées chacune à 12 exemplaires, Hermès a opté pour la montre dessinée en 2015 par Philippe Delhotal. Le fin boîtier de 39.5mm de diamètre sert d’écrin précieux à des scénographies extraordinaires finalisées à l’aide des mains expertes des artisans des métiers d’art. Le printemps associe une boîte forgée en or rose sertie de 66 diamants à un cadran sur lequel on découvre un cheval paré de fleurs luxuriantes. Ce décor est opéré au moyen d’une myriade de couches de micro-peinture apposées sur une pierre chrysoprase citron.

Les trois autres se distinguent par l’éclat de l’or blanc. Un lion rayonnant symbolise l’été. Né d’une gravure dans le saphir et peint depuis l’envers du cadran, le félin malicieux profite de la lumière émise par 66 diamants. Pour l’automne, l’or sculpté et une délicate peinture mettent en scène un aigle flamboyant. Quant à l’hiver, un loup de glacé réalisé en émail paillonné s’entoure de 52 diamants taille baguette. Chaque pièce s’accompagne d’un bracelet à la teinte coordonnée confectionné en alligator mat ou lisse au sein des ateliers de la maison parisienne. Toutes les aiguilles des heures et des minutes de ces montres sont animées par le calibre H1950 doté d’une fréquence 21’600 alternances par heure. Ce mouvement à remontage automatique extraplat, 2.6mm de haut, délivre 48 heures de réserve de marche. De quoi profiter pleinement des bienfaits de chaque saison.

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