À l’occasion de ses 120 ans, l’aventure de la marque se poursuit avec le lancement d’une nouvelle collection de montres polyvalentes aux atouts bien séduisants.

Réinterprétations modernes aux accents vintage dotées de l’esthétique du premier garde-temps produit en 1958, les deux premières Securicode Diver300 s’imposent comme des offres d’accès à l’univers marin de ZRC. Toutes deux sont élaborées autour d’un boîter en acier 316L, étanche jusqu’à 300 mètres de profondeur grâce notamment à son fond à déformation programmée. Leur cadran en laiton massif guilloché s’orne de teintes de noir et de bleu marine. Dans cette évocation des couleurs océaniques, les informations temporelles se lisent avec clarté dans toutes les conditions. Les aiguilles de type Magnum et la trotteuse “lollipop“, revêtues d’un Super-LumiNova^® beige ou vert selon la version, pointent un tour d’heures composé d’index en forme de pointe stylisée cerclé par un réhaut paré d’une échelle de minutes.

Toutes les données sont orchestrées par un calibre Sellita SW200-1 dans sa version “élaborée“. Ce mouvement à remontage automatique délivre au moins 38 heures de réserve de marche. La référence SC39163 se distingue par sa lunette tournante unidirectionnelle usinée dans le même métal que sa boîte et par son bracelet confectionné de mailles en acier extensibles qui lui confère une personnalité rétrochic. La SC39208 se différencie par la présence d’un quantième positionné à 3h, sa lunette équipée d’un insert en céramique noire et son bracelet en caoutchouc. Quelles que soient leurs spécificités, les Securicode Diver300 disposent de tous les atouts pour vous accompagner dans toutes les aventures du quotidien.

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La manufacture indépendante d’Hölstein offre une nouvelle palette de couleurs attractives et améliore les performances de son attrayante plongeuse à l’allure vintage.

Avec les montres de plongée Divers Date, Oris offre plus qu’une simple mise à jour esthétique de son modèle né il y a bientôt 60 ans. En 2015, la Divers Sixty-Five nous avait déjà séduits par sa personnalité empreinte de nostalgie animée par un calibre contemporain. Les dernières itérations en adoptent les codes et se dotent d’une meilleure étanchéité. Celle du boîtier de 39mm de diamètre usiné en acier est désormais garantie jusqu’à 200 mètres de profondeur contre 100 mètres précédemment. Cet écrin aux dimensions harmonieuses se coiffe d’un verre saphir bombé et d’une lunette unidirectionnelle avec insert en céramique ornée d’une échelle pratique pour les excursions sous-marines.

Outre l’incontournable teinte noire, deux coloris inédits viennent habiller les cadrans. L’un opte pour un fascinant glaz résolument marin mixant des nuances de bleu, de vert et de gris. L’autre se pare d’un beige d’une grande douceur. Quelle que soit l’option chromatique, les aiguilles et les index revêtus d’un Super-LumiNova^® blanc contrastent idéalement pour offrir aux informations temporelles une lecture aisée dans toutes les conditions de lumière. Celles-ci tout comme la date logée à 6h restent animées par le calibre à remontage automatique 733, lequel délivre 41 heures de réserve de marche. Les Divers Date se portent sur un bracelet en métal ou sur son homologue en caoutchouc fourni dans le coffret. Le système de changement rapide permet de les alterner avec célérité et en toute facilité. Style et polyvalence sont au rendez-vous.

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Après une version haute en couleur, la marque présente une évolution de sa montre de plongée au design inspiré d’une pièce de son riche patrimoine dotée d’une table de décompression.

Avec l’Ocean Star Decompression Timer dévoilée la première fois en 2020, MIDO plonge dans son passé en réinterprétant l’un de ses modèles emblématiques des années 1960. Cette série limitée de 1961 exemplaires possède toujours l’ensemble des atouts de son aîné, notamment sa table de décompression logée au centre du cadran noir mat. Quatre anneaux de couleur, jaune, vert, rose et bleu, constituent cet outil qui permet de connaître le temps maximal d’immersion selon la profondeur, -25m, 30m, 35m et 40 m, sans recourir à un palier de décompression. Il suffit de lire la division des minutes correspondantes. Sa position sur le cercle azur informe ainsi que le plongeur ne peut rester par exemple que 9 minutes entre – 36 et – 40 mètres au cours de la remontée.

L’ensemble intègre un boîtier en acier traité PVD étanche de 40.5mm de diamètre jusqu’à 200 mètres de profondeur. Une lunette tournante unidirectionnelle avec une bague aluminium crantée optimise la sécurité lors d’une excursion des fonds marins. La lisibilité des données demeure en outre excellente grâce à l’omniprésence du Super-LumiNova^® sur les chiffres de sa graduation. Toutes les informations temporelles sont propulsées par le performant Calibre 80 qui délivre une confortable réserve de marche de 80 heures. Pour plus de polyvalence, l’Ocean Star Decompression Timer 1961 s’accompagne de trois bracelets, un élégant maille milanaise, une alternative en cuir et le dernier confectionné en caoutchouc qui vient renforcer sa personnalité marine.

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Avec ce duo de garde-temps taillés pour l’aventure sans frontière et conçus en collaboration avec la marque japonaise, l’horloger loclois transporte les poignets dans un voyage au bout du style.

La fin d’année approche à grands pas et incarne l’excuse parfaite pour ouvrir en grand les portes du monde, pour s’envoler vers la douce chaleur de l’hémisphère sud ou, au contraire, rechercher la fraîcheur des contrées du nord, une Pilot x Porter  de Zenith au poignet. En effet, l’horloger loclois vient de dévoiler deux montres conçues en collaboration avec le spécialiste japonais des accessoires de voyage, la Pilot Central Automatic Porter et la Pilot Big Date Flyback Porter, chacune limitée à 500 exemplaires.

Héritière de la longue relation nouée entre Zenith et la conquête des airs, la Pilot, qui a subi une modernisation en 2023, emprunte les couleurs emblématiques du nuancier de la marque nippone en habillant ses boîtiers – 40mm pour la version automatique, 42.5mm pour le chronographe – de céramique vert olive. La même teinte recouvre les cadrans au lignage horizontal qui accueille une volée de grands chiffres arabes luminescents. Quelques touches d’orange habillent les aiguilles centrales des heures, minutes et secondes et, pour la Big Date Flyback, le compteur de la petite seconde (à 9h) et le totaliseur du chronographe (à 3h). A 6h, le quantième s’impose en blanc dans une fenêtre, simple ou double selon la référence. Ces deux nouveautés battent au rythme de mouvements automatique El Primero à haute fréquence (5hz) délivrant une autonomie de 60 heures une fois pleinement remontés, le calibre 3620 pour la trois-aiguilles.

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Dévoilée en 2023, la collection accueille deux nouvelles pièces, toujours équipées de la fonction chronographe avec retour en vol développée par l’horloger imérien il y a un bientôt un siècle et cette fois rehaussées de touches d’or.

Au fil de son Histoire, l’Homme s’est imaginé des ailes pour pouvoir naviguer parmi les oiseaux et les étoiles. En plumes, en toile, en métal, il peaufine progressivement sa voilure jusqu’au début du XX^ème siècle lorsque sa créativité prolifique se transforme en prototypes fiables d’aéronefs. L’essor est soudain et pour accompagner les explorateurs du ciel, Longines développe en 1925 une fonction associée à celle du chronographe qui permet de mesurer une succession de temps courts, d’arrêter un comptage et d’en relancer un nouveau dans la foulée d’une seule pression: le retour en vol, pour lequel elle dépose un brevet une décennie plus tard. En 2023, ce mécanisme intègre une des collections de la marque imérienne pour devenir une gamme à part entière, Spirit Flyback, qui cette année accueille deux nouvelles pièces.

Mesurant 42mm de diamètre et 17mm d’épaisseur, le boîtier en acier commun à ces variantes est ponctué d’éléments – lunette rotative, couronne vissée et poussoirs de commande – en or, jaune pour sublimer le cadran vert et rose pour rehausser le marron. Les teintes fumées de ces visages font ressortir la finition azurée de leurs compteurs, la petite seconde à 9h et le totaliseur des minutes alimenté par la trotteuse centrale. La Spirit Flyback étant une montre destinée aux pilotes, les chiffres arabes surdimensionnées sont enduits de Super-LumiNova® à l’instar des aiguilles des heures et minutes. Toutes ces fonctionnalités sont assurées par le calibre L791.4 à roue à colonnes, un mouvement automatique certifié chronomètre par le COSC qui délivre une autonomie de 68 heures une fois pleinement remonté.

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Suivre les exploits de ses champions préférés, telle est la proposition de la marque avec de nouveaux développements intégrés à sa performante montre connectée.

Alors que LVMH vient d’annoncer son implication dans l’univers de la Formule 1 pour les dix prochaines années, sa célèbre marque TAG Heuer, déjà partenaire de l’écurie Oracle Red Bull, dévoile une évolution inédite de sa smartwatch assurant une immersion exclusive au fil des Grands Prix. Ainsi, la montre Connected Calibre E4 45MM x Oracle Red Bull Racing Edition donne la possibilité de suivre les performances des pilotes tout au long de l’année grâce à une application spécialement développée pour l’occasion.

Sur l’écran intégré au boîtier de 45mm de diamètre usiné en titane grade 2 revêtu de DLC noir et coiffé d’une lunette en céramique noire ornée d’une échelle de 60 minutes s’affichent toutes les informations liées à la saison du team, des essais libres du vendredi jusqu’à la course du dimanche de Max Verstappen ou de Sergio Pérez. L’autonomie d’une journée de la montre assure de suivre chaque Grand Prix dans les meilleures conditions. Et pour un confort optimisé au porter, la montre s’accompagne d’un bracelet bi-matière en caoutchouc noir et en cuir de veau bleu orné d’une finition asphalte. Outre cette spécificité, on retrouve bien sûr toutes les applications dédiées à la pratique de différents sports (course, marche, golf…) et au bien-être grâce à la présence des capteurs, ainsi que les indispensables fonctions (chronomètre, minuterie et alarme). Ce modèle permet en outre de recevoir toutes les notifications au moyen de son système d’exploitation Wear OS by Google^TM. Les mises à jour à venir proposeront des fonctionnalités supplémentaires.

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Au sein de cette édition limitée à 25 exemplaires souffle peut-être la force sacrée polynésienne, l’énergie ancestrale bienveillante issue de l’océan et de la nature.

ʻO Ka Mua, le premier. C’est par cette dénomination que Hublot nomme sa série spécialement développée pour sa boutique à Hawaï, Honolulu Ala Moana, ouverte en 2021. Cette Big Bang Unico arbore une décoration typiquement polynésienne. Des motifs concentriques évoquent de multiples symboles forts que l’on retrouve dans la culture ancestrale des îles du pacifique: le soleil, des vagues de l’océan, la tortue, des dents de requin. Cette création esthétique habille le cadran ajouré ainsi que sur la lunette en céramique bleue. Ce même matériau quasi inrayable sauf par le diamant a servi à usiner le boîtier noir microbillé de 42mm de diamètre et de 14.5mm de haut, étanche jusqu’à 100 mètres de profondeur.

Au sein de ce décor d’une grande finesse évoluent les informations temporelles propulsées par le calibre HUB1280. Les aiguilles des heures et des minutes, tout comme la date, bénéficient de l’énergie (72 heures de réserve de marche) produite par ce mouvement à remontage automatique assemblé à l’aide 354 éléments. Durant cette période, le chronographe doté de sa fonction retour en vol peut enchaîner la mesure des temps courts. La Big Bang Unico ‘O Ka Mua se porte sur un bracelet en cuir de veau à la teinte coordonnée à celle de la lunette, fermé par une boucle déployante. Chaque pièce est présentée dans un coffret en bois massif paré d’une ornementation toute en arabesques. L’intérieur amovible confectionné en matières recyclées répond au profond respect traditionnel pour la nature ancrée dans la culture locale.

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Cette nouvelle édition limitée à 500 exemplaires offre une plongée inédite dans l’univers commun des deux marques tournées vers la haute performance sans concession.

À l’occasion du 50^ème anniversaire du 1^er titre de champion du monde de F1, McLaren a dévoilé sa W1 dotée d’un V8 de 1’275 CV. Outre la puissance superlative de cette supercar, le 0 à 200 km/h est abattu en 5.8 secondes, son aérodynamisme tutoie l’exceptionnel grâce à un système d’aileron arrière sophistiqué qui vient accentuer les forces d’appui au sol à grande vitesse. Ses lignes musclées impriment leurs spécificités au design de la RM 65-01 Automatique Chronographe à rattrapante McLaren W1, le 4^ème opus de la collaboration de Richard Mille avec la firme britannique.

Ainsi, la lunette en Carbone TPT^® repose désormais sur une pièce homologue usinée en titane grade 5 de seulement cinq dixième de millimètres en son point le plus fin. Cette structure accentue le relief de la montre et met en exergue le cadran squeletté façonné en titane, doté d’un motif inspiré par celui habillant les jantes du bolide survitaminé. D’autres éléments du graphisme des roues ont contribué à la conception des poussoirs. Quant aux lignes de la couronne redessinées, elles puisent leurs origines dans la forme des vis des arbres de transmission.

Au sein de cette architecture étagée, on retrouve l’agencement des données temporelles et les codes couleur liés à chaque fonction du modèle original. Les aiguilles des heures et des minutes, la mesure des temps court au 1/10^ème de seconde du chronographe à rattrapante, l’affichage de la date semi-instantanée, restent orchestrés par le calibre automatique à haute fréquence (5Hz), le RMAC4, logé au cœur de l’emblématique boîtier profilé en Carbone TPT^®. La présence d’un poussoir dédié offre la possibilité de recharger la réserve de marche de 60 heures en 125 pressions. L’innovation demeure le moteur de la performance et d’une créativité sans limite.

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Afin de célébrer les 80 ans de sa collection dédiée aux aventures sous-marines, la marque propose une évolution de sa montre de plongée dans une toute nouvelle dimension.

En pleine période estivale dans l’hémisphère nord, le temps surfe sur les vagues tout en relief du cadran de l’Ocean Star 39 signée MIDO. Dans un dégradé allant d’un noir abyssal à un bleu forcément marine, une houle bicolore accueille un tour d’heures composé d’index ronds et triangulaires habillés d’un Super-LumiNova^® blanc Grade X1. Cette même matière luminescente puissante revêtue par les aiguilles des heures et des minutes ainsi que le disque positionné sur la trotteuse offre à la scénographie des informations une excellente lisibilité dans toutes les conditions, sous les mers comme sur la terre ferme. Pour compléter les données, un pratique guichet affiche la date à 3h.

La présence du calibre 72, une base ETA A31.111, assure quant à lui une généreuse réserve de marche de 72 heures. Son spiral Nivachron^TM rend ce mouvement à remontage automatique vibrant à 25’200 alternances par heure, insensible aux effets négatifs des champs magnétiques. L’ensemble intègre un boîtier usiné en acier inoxydable de 39mm de diamètre, étanche jusqu’à 200 mètres de profondeur. Cet écrin est coiffé d’une lunette tournante unidirectionnelle avec insert en aluminium bicolore orné d’une échelle utile pour les excursions dans le Grand bleu. Un bracelet en métal terminé par une boucle déployante avec extension pour pouvoir l’ajuster sur une épaisse combinaison en néoprène accentue la polyvalence de cette montre de plongée. Son système d’interchangeabilité intégré permet d’adopter une option confectionnée en caoutchouc.

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Loin des noms de collections qui puisent généralement leurs origines dans l’histoire d’une marque horlogère, dans la géographique environnante ou encore dans le vocabulaire romanesque, celui du Type XX de Breguet revêt une sorte d’aura mystique tel un message crypté, un charisme énigmatique accentué par son visage sombre.

Cependant, comme tout matériel militaire, cet outil destiné aux pilotes et au personnel navigant porte une appellation administrative imposée par l’Armée de l’air française qui, en 1953, lance un appel d’offres auprès des fabricants de montres selon un cahier des charges très précis. En effet, l’instrument doit être suffisamment robuste pour pouvoir endurer des conditions extrêmes entre les écarts de températures, l’humidité, l’altitude et la vitesse, mesurer au moins 38mm de diamètre, arborer un cadran obscur sur lequel essaiment des chiffres arabes surdimensionnés et luminescents pour une prise d’informations instantanée même la nuit, et embarquer une fonction chronographe avec retour en vol aisée à commander avec des gants épais. L’année suivante, en 1954, grâce notamment à sa maîtrise du flyback, l’entreprise Breguet est choisie par les forces aériennes françaises, l’Armée de l’air puis l’Aéronautique navale, pour la manufacturer ces montres, le Type 20 pour la première et le Type XX pour la seconde, un décalage orthographique imaginé pour différencier les modèles spécialement développés pour satisfaire les besoins techniques de chaque entités militaires.

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Dans le riche passé de Breguet, Paris représente une pierre angulaire puisque c’est elle, témoin silencieux, qui a vu un jeune Neuchâtelois, Abraham-Louis Breguet (1747-1823) se former à l’art de l’horlogerie auprès de grands maître, installer son atelier et donner vie aux plus grandes inventions, tant techniques qu’esthétiques, de la science du temps, à la fin du XVIII^ème siècle. C’est aussi dans le ciel de la capitale française qu’ont décollé, quelques décennies plus tard, les aéroplanes d’un jeune amoureux des nuages, Louis Breguet (1880-1955) et arrière-arrière-petit-fils du premier, qui eux aussi ont permis à un secteur alors naissant de faire d’importantes avancées.

Plusieurs écarts entre générations mais un même patronyme pour marquer l’histoire et une même ville: Breguet et Paris. L’un sur la terre ferme, Breguet et l’horlogerie, pour inviter les hommes et les femmes à se repérer dans le temps, l’autre haut dans les airs, Breguet et l’aviation, pour inviter les hommes et les femmes à naviguer facilement entre les continents. Grâce aux forces aériennes françaises, à l’appel d’offre lancée en 1953 et remporté en 1954, les deux branches de l’arbre généalogique se retrouvent, encapsulées dans un seul objet: le chronographe Type XX, un instrument de vol indispensable aux soldats du ciel, édité à 1’100 exemplaires pour l’Armée de l’air entre 1955 et 1959 puis 500 pour l’Aéronautique navale, et doté de la fonction retour en vol qui permet d’effectuer une remise à zéro du comptage et le déclenchement instantané d’une nouvelle mesure des temps courts.

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Entre les années 1950, témoins de la naissance d’un chronographe spécialement conçu par Breguet à la demande de l’Armée de l’air française pour compléter l’équipement militaire des aviateurs et mécaniciens à bord des aéronefs et leur permettre d’arborer au poignet un instrument fiable, robuste, aussi facile à lire qu’à manipuler, et aujourd’hui, quatre générations de Type XX se sont succédées dans le catalogue de la marque horlogère.

En effet, homologué en 1954, après avoir remporté un appel d’offre en honorant un exigeant cahier des charges, cet outil éprouvé devient collection dès 1995, un espace dans lequel il évolue, prolifère sous les traits de divers variantes, subit quelques transformations en adéquation avec les goûts et les envies des époques, jusqu’à l’arrivée de deux nouvelles ambassadrices en juin 2023. Chaque modèle de ce binôme présente le même nom mais orthographié différemment afin de respecter tant leurs origines que leurs spécificités, ou encore leur esthétique dont certains codes ont été empruntés à de précédentes versions. Le Type 20 référence 2057 développé jadis pour l’Armée de l’air hérite du surnom “militaire“ et d’un graphisme basé sur deux compteurs, une petite seconde logée à 9h et un totaliseur surdimensionné à 3h, et une allure d’époque avec sa lunette cannelée et sa couronne conique qui complètent le boîtier en acier de 42mm de diamètre, tandis que le Type XX référence 2067, qui s’appuie sur la création commandée par l’Aéronautique navale vers la fin des années 1950, adopte la dénomination “civile“ et se démarque par sa lunette crantée, son trio de compteurs et ses aiguilles de type Alpha.

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Un peu plus d’un an après la présentation de la quatrième génération de Type XX à Paris, Breguet dévoile une nouvelle version de la Type XX référence 2067, toujours marquée par une allure dynamique mais dont la silhouette sportive adopte les chaleureux reflets de l’or rose, métal introduit sur deux montres éditées en très petite série en 1955, et le visage s’habille d’un beau bleu profond, deux teintes qui évoquent le ciel à la tombée de la nuit lorsque le soleil cède doucement sa place à la lune.

Ponctué sur le flanc droit de poussoirs pour commander la fonction chronographe et d’une couronne cannelée, le boîtier de cette variante “civile“ mesure 42mm de diamètre et 14.1mm d’épaisseur, et se coiffe d’une lunette crantée arborant un anneau en céramique bleue. Pour Breguet, le recours à ce matériau très apprécié pour sa grande résistance aux rayures et à la corrosion, et sa légèreté, est une première. De plus, sa brillance contribue au contraste créé par les finitions sur le cadran, soleillée pour le disque principal et azurée pour le trio de compteurs (la petite seconde et le totaliseur des heures respectivement à 9h et 6h, et le totaliseur surdimensionné des 15 minutes surplombant la date entre 2h et 4h). Les aiguilles ont subi un changement par rapport à la Type XX de 2023 car la forme Alpha cède sa place au style bâton avec une pointe très allongée. Les indications délivrés par cet élégant modèle battent au rythme du calibre 728, un mouvement automatique de manufacture doté de la fonction chronographe avec retour en vol, d’un mécanisme d’embrayage vertical, et d’un barillet à haut rendement qui lui permet de fournir 60 heures de réserve d’énergie.

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Le lancement du couple de chronographes Type XX et Type 20, la quatrième génération d’une montre développée en 1954 pour l’Armée de l’air française, qui a eu lieu à Paris en juin 2023 a été accompagné par l’introduction d’un puissant mouvement de chronographe automatique à haute fréquence (5hz, soit 36’000 alternances par heure) et avec retour en vol exclusivement développé par Breguet pour cette collection de garde-temps.

Après environ 4 ans de développement, le calibre 728 du Type XX référence 2067 pose les jalons d’une nouvelle ère mécanique. Doté d’un ensemble spiral, cornes et roues d’échappement en silicium, ce cœur robuste et fiable, assemblé à l’aide de 350 composants, embarque à son bord un mécanisme d’embrayage vertical couplé à une roue à colonnes teintée en noir et un barillet au rendement efficace qui permet de délivrer une réserve de marche de 60 heures. Il anime, côté cadran, les heures et minutes courantes, la petite seconde à 9h, la date à 4h30 et, bien entendu, les informations relatives à la mesure des temps courts, soit la trotteuse centrale qui alimente le totaliseur surdimensionné des 15 minutes entre 2h et 4h et celui des heures placé à 6h. Variante de ce nouveau moteur, le calibre 7281 qui équipe le Type 20 référence 2057, la version “militaire“, lui aussi pourvu d’une masse oscillante en forme de monoplan, rythme le ballet des heures et minutes, des secondes décentrées à 6h, du quantième, et d’un compteur de minutes, cette fois calé sur 30, que balaie une petite aiguille de style feuille vers 3h.

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